Afin de célébrer le lancement du magazine Oniriq, une grande soirée était organisée le 26 juin dernier à l'Hôtel Plaza Athénée dans le 8e arrondissement de Paris. Et qui dit événement exceptionnel, dit invités exceptionnels !
Le chanteur Kendji Girac a répondu présent, dans une tenue très classe, tout en blanc, avec à ses pieds des chaussures montantes beiges. L'ancienne membre du gouvernement Marlène Schiappa a également tenu à participer à cette inauguration. L'ancienne secrétaire d'Etat chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes avait opté quant à elle pour un ensemble noir, complété par une petite veste rose flashy assortie à son sac, sa manucure ainsi qu'à ses chaussures à talon. Enfin, l'ex Miss France et patronne du comité, Sylvie Tellier, tout en élégance, portait un haut blanc assorti à ses sandales et rentré dans un pantalon noir taille haute, équipé d'une ceinture.
Le 23 juin dernier, Oniriq, lancé par le patron de Forbes France Dominique Busso (présent à cette soirée), faisait sa toute première apparition dans les kiosques à journaux avec un premier numéro composé d'environ 200 pages. Ce magazine, essentiellement disponible en version papier, est axé sur l'univers du luxe à travers quatre grandes thématiques : Luxe, Art, Voluptés et Storytelling. Peuvent découler de ces principaux axes plusieurs domaines en tout genre comme la mode, la joaillerie, les voyages, l'automobile ou encore l'Art contemporain. Sans oublier la gastronomie ou encore les interviews d'artistes français. D'ailleurs, l'actrice Alice Taglioni, également compagne du journaliste de France 2 Laurent Delahousse, donnait tout récemment une interview pour ce nouveau magazine pour parler de son couple et de sa famille.
L'objectif d'Oniriq, c'est de "rendre hommage et célébrer l'art de vivre, l'excellence et le savoir-faire inégalable de tous les univers du luxe". Tout en visant "un lectorat mixte". Dominique Busso déclarait vendredi dernier sur le plateau de BFM Buisness, vouloir développer ce magazine à l'étranger. "À l'image de Forbes, qui fonctionne sous forme de licence (...) l'idée, c'est, d'ici un ou deux ans, proposer le magazine à l'international" avait-il déclaré.