Vendredi 23 novembre, France 2 lance la saison 2 de L'Art du crime avec Nicolas Gob et Éléonore Bernheim. La série qui a attiré 4,6 millions de téléspectateurs en moyenne lors de sa première saison mêle art et polar. Deux thèmes pas forcément simples à conjuguer. Explications...
Cette saison, ce sont les impressionnistes qui seront abordés. "On aime la peinture, ce qui nous donne une bonne raison d'acheter des livres ! Et on y cherche le petit fil, l'anecdote sur un peintre, une oeuvre qui permettra de construire une intrigue policière", confie la scénariste Angèle Herry-Leclerc au Parisien. Les scénaristes rencontrent même parfois des experts comme pour les épisodes de Léonard de Vinci et Géricault diffusés en saison 1. "Rien n'est inventé" donc "tout ce qui est dit dans la série est vérifié".
Ce ne sont donc pas les enquêtes sur les peintres qui les gênent mais les oeuvres car les artistes contemporains ne peuvent pas être mis en avant dans le programme... à cause de leurs créations. "Pour des questions de droits, on ne peut évoquer que des artistes dont l'oeuvre est passée dans le domaine public. Il faut qu'ils soient morts avant 1948, car il y a soixante-dix ans de délai". "C'est la limite" reconnaissent les scénaristes.
Dommage...