Le - léger - serrage de ceinture dans les dotations financières aux royaux belges, combiné aux effets de l'altitude, semblent avoir un impact désastreux sur le prince Laurent de Belgique...
Déjà relativement habitués aux écarts du fils cadet du roi Albert et de la reine Paola, qui avait connu un véritable enfer médiatique en 2006-2007 lors de son implication dans une affaire de corruption (des fonds de la Marine belge, dont il est officier, auraient servi à l'aménagement de sa résidence, la Villa Clémentine), et cité à comparaître par ses détracteurs suite à un décret royal émis par son père, les médias belges serait un resquilleur de la business class !
Le site 7sur7.be rapporte que le fils du roi serait accusé d'avoir perturbé plusieurs vols d'avion, exigeant notamment, détenteur de billets de classe économique, de voyager en première classe ! Des tentatives d'extorsion de surclassement qu'il aurait notamment opérées en juin 2010 alors qu'il se rendait à Stockholm pour le mariage de la princesse Victoria de Suède à bord d'un vol de la compagnie Brussels Airlines, accompagné de la princesse Claire, son épouse et la mère de leurs trois enfants (Louise, 7 ans, et les jumeaux Nicolas et Aymeric, 5 ans). Sur ce vol, Laurent de Belgique se serait purement et simplement installé en première classe avec ses billets éco, et aurait fait un double esclandre, une première fois en renâclant à rejoindre sa véritable place, puis de même au moment de payer ses consommations à bord ! Une attitude à mille lieues du profil bas qui siérait aux royaux belges (le prince héritier Philippe, par exemple, voyage sans problème en classe éco, signale 7sur7.be) en ces temps politiquement et économiquement incertains pour le plat pays.
Mais le prince Laurent, 47 ans, n'en est pas à sa première incartade. L'ancien mauvais élève au parcours accidenté, qui s'est racheté une conduite avec ses actions dans les domaines des droits des animaux et de l'environnement, s'est, peu avant ces révélations, fait arrêter et priver de son permis de conduire pour un nouvel excès de vitesse. Son ancien conseiller environnement, réagissant auprès du groupe Sud Presse, se rappelait la folie de la vitesse du prince, déclarant que, s'il est pourtant un "excellent conducteur", "c'est un miracle qu'il n'ait jamais eu d'accident grave" !
Autre confidence, celle d'un mannequin phare... Le sublime ex-top Tasha de Vasconcelos, amie de Carla Bruni, se souvient dans sa récente autobiographie intitulée La Beauté comme une arme de son rencard désagréable avec ce "déjanté de la couronne" à la fin des années 1990, à une époque où elle fréquentait les sphères royales : "Un dingue, celui-là (...) Quand il est venu me chercher, il a voulu m'impressionner avec sa Ferrari bleue. Au retour de la soirée, il avait absolument voulu me photographier devant les arbres du parc de Kew Garden, à Londres. Une photo devant chaque arbre, pour mettre en boîte ma beauté et me déclarer sa flamme. Il me faisait peur", écrit le mannequin. Encore une mauvaise pub pour le prince...