Réactualisation : Kirsten Dunst pourra dormir tranquille encore quelques jours. Alors qu'elle devait prendre fin le 21 décembre, l'interdiction pour Jean-Christophe Prudhon d'approcher l'actrice américaine à moins de 94 mètres vient d'être reconduite jusqu'au 9 janvier 2012 par un juge de Californie.
Selon le site E ! Online, l'avocat de la star demandera à ce que l'interdiction soit prolongée pour trois années supplémentaires, afin de garantir la sécurité de Kirsten Dunst.
Le 11 décembre :Kirsten Dunst, 29 ans, est entrée dans la longue liste des stars harcelées, depuis que le site américaine TMZ.com a révélé la nouvelle : Un Français a été condamné à ne plus approcher la star à moins de 100 yards (environ 94 mètres). Une injonction temporaire qui sera étudiée lors d'une audience le 21 décembre, pour savoir si la décision sera prolongée ou pas. Le Parisien/Aujourd'hui en France a obtenu un entretien avec le harceleur en question qui s'explique sur sa "démarche amoureuse"...
Jean-Christophe est âgé de 51 ans, est un ancien chef d'entreprise et possède une particularité : il a eu le coup de foudre pour l'actrice de Virgin Suicides et Melancholia : "Je me fichais pas mal qu'elle soit actrice ou caissière." Pour toucher le coeur de sa belle, il lui a envoyé des lettres d'amour, "jamais menaçantes" précise-t-il. Il ajoute : "Je lui ai aussi envoyé un roman de 200 pages que j'ai écrit spécialement pour elle fin 2007. J'y racontais 50 manières différentes par lesquelles on aurait pu se rencontrer." Toutefois, il tient à dire qu'il n'a jamais tenté de l'appeler, contrairement à ce qui a été écrit dans les médias.
Certes, mais Jean-Christophe a tout de même tenté de l'approcher : "Je m'y rendais quand j'apprenais par la presse qu'elle était célibataire." Sa dernière tentative remonte à la semaine dernière. Il lui a laissé un mot devant sa porte avec son téléphone, attendant son appel. N'ayant pas de nouvelles au bout de deux jours, il sonne chez elle. Sa mère lui ouvre, reconnaît son nom quand il se présente et lui claque la porte au nez. Pour lui, ce n'est pas du harcèlement : "Je voulais simplement qu'elle réponde. Si elle m'avait dit une seule fois : 'Je ne veux pas vous voir ni vous parle'r, j'aurais tout laissé tomber. Au lieu de ça, elle a préféré saisir la justice." A présent, il ne souhaite pas contester la décision de justice : "Elle m'a trop déçu. Je n'ai plus aucune envie de la voir. J'ai cru à un rêve. [...] Aujourd'hui, je me rends compte que c'était une connerie."