Le Grand Journal critiqué : Daphné Bürki et Doria Tillier montent au créneau

C'est la polémique qui fait grand bruit depuis quelques jours. Lundi 15 avril, Ollivier Pourriol, ancien chroniqueur littéraire de l'émission, a sorti un livre choc, ON/OFF, dans lequel il raconte "l'enfer" qu'il a vécu dans l'émission de Michel Denisot. Un discours repris par une de ses anciennes camarades, Solweig Rediger-Lizlow, ex-Miss Météo du Grand Journal de Canal+, qui a comparé son année sur la chaîne à un "calvaire".

Alors que la jolie Solweig Rediger-Lizlow, mannequin de renom et créatrice, nous confiait récemment en OFF que Michel Denisot tirait plus vite que son ombre et qu'elle avait été totalement brimée dans son rôle de Miss Météo au Grand Journal, Daphné Bürki et Doria Tillier, nouvelle Miss Météo, montent au créneau pour défendre l'un des talk-shows les plus célèbres du PAF.

Dans une interview accordée à nos confrères de Télé Loisirs, Daphné Bürki s'étonne des mots choisis par Solweig pour évoquer son année au sein de la rédaction du Grand Journal. "Je ne connais pas non plus Solweig, je ne l'ai pas côtoyée. Je trouve ça un peu dur de dire 'calvaire' quand on voit l'univers dans lequel on vit. Il y a des gens qui galèrent vraiment au travail, qui ont des salaires de misère. Ce n'est pas le bon vocabulaire, même si elle a peut-être mal vécu son année", confie la coanimatrice. Elle évoque également son expérience dans le milieu de la mode : "Je viens d'un milieu tellement plus dur, je viens de la mode. Et là, pour le coup, c'est vraiment violent !"

Tout comme elle, Doria Tillier ne reconnaît pas son quotidien dans les déclarations de Solweig. Elle explique : "Je ne reconnais pas du tout ce que je vis. Il y a peut-être un décalage entre cette année et l'ambiance qu'il y avait l'année dernière." Elle raconte : "Je n'ai jamais bossé dans une si bonne ambiance. Ce n'est pas la fête tous les soirs, on ne va pas boire des coups, mais on ne m'a jamais brimée, ni donné une seule directive sur ce que je devais faire. Une fois dans l'année, on m'a dit 'Non, ça, ne le fais pas'."

Malgré la peur d'être accusée de faire preuve de langue de bois, Doria va même jusqu'à assurer qu'elle adore Michel Denisot, grand prêtre de l'émission. Elle revient sur la phrase de Solweig "Michel Denisot tire plus vite que son ombre" et déclare : "Je le connais sympa, cool. Je l'adore ! J'espère qu'elle parle pas de cul, déjà ! Comme c'est quelqu'un de très intelligent, j'imagine que s'il veut faire mal, il tire plus vite que son ombre. Mais c'est pas ce que j'aurais dit de lui ! Je le connais sympa, cool. Je l'adore !"

Au sujet d'Ollivier Pourriol, Daphné confie : "Je ne sais pas ce qu'il lui est arrivé, je ne le connais pas, je ne l'ai jamais rencontré." Ollivier avouait qu'il ne pouvait pas lire les livres dont il parlait. L'ex-animatrice des Maternelles sur France 5 explique : "On a sept à dix invités par soir. On a des journalistes, des fichistes, des gens formidables qui sont là pour te faire des compléments. Tous les soirs, tu repars avec cent vingts feuilles." Jusqu'ici, tout semble normal.

Et depuis la polémique, que se dit-il dans les couloirs de l'émission la plus successful du PAF ? Daphné, bras droit de Michel Denisot, rassure : "Tout va bien, ça se verrait à l'antenne si ça n'allait pas." En vacances au moment où la polémique a éclaté, Doria, qui était alors remplacée chaque jours par de grands humoristes, a eu peur que l'ambiance ne pâtisse des critiques formulées par Ollivier Pourriol. De retour, elle assure le contraire : "Je pensais que ça allait plomber l'ambiance mais pas du tout, les gens se marrent. On en parle pas trop, ou en rigolant.