Après la pluie vient le beau temps : pour le couple formé depuis 2016 par Meghan Markle et le prince Harry, la tendance pourrait bien s'inverser. Voilà maintenant plusieurs semaines que les parents d'Archie (5 ans) et Lilibet (3 ans), sujets de discorde entre eux, se retrouvent au coeur de rumeurs de séparation. En cause ? Le manque d'apparitions à deux dans les événements publics. Si jusqu'à il y a encore quelques mois, Meghan Markle et le prince Harry s'affichaient toujours ensemble, unis et soudés lors de manifestations officielles, ce n'est plus le cas désormais. Meghan Markle et le prince Harry semblent prioriser les apparitions publiques en solo, alimentant malgré eux, chaque jour un peu plus, l'hypothèse d'un divorce.
Pour certains administrateurs de la couronne et experts, le couple de Meghan Markle et du prince Harry bat donc de l'aile. Et la récente acquisition de l'Américaine et du Britannique d'une maison au Portugal ne serait que l'illustration discrète d'une fissure au sein du duo. Si l'achat de cette propriétaire reste un investissement (leur maison sur le point d'être construite leur aurait coûté 4,7 millions de dollars), les plus sceptiques y voient là l'occasion pour Meghan et Harry d'avoir chacun un pied-à-terre au moment de mettre officiellement fin à leur mariage. Heureusement, d'autres sont bien plus mesurés dans l'analyse.
Grant Harrold, ancien majordome du roi Charles III, s'est confié dans une interview au New York Post. Pour lui, Meghan Markle et le prince Harry assurent surtout leurs arrières après avoir constaté que leur vie aux États-Unis n'était pas "celle qu'ils pensaient qu'elle serait". Pour lui, ils ne font donc que tenter leur chance ailleurs avec un plus : la proximité géographique avec la princesse Eugenie et son mari, Jack Brooksbank, qui résident également au Portugal (avec qui Meghan et Harry ont récemment fait durer le plaisir lors d'un voyage en Europe) et avec qui les Sussex se sont toujours très bien entendus.
Le prince Harry, qui a toujours été complice avec ses cousines d'York, doit se trouver rassuré de compter ces figures de confiance aussi proches de lui, lui qui commençait à se sentir seul aux États-Unis, prenant même ses distances avec son épouse. Mais ce n'est pas tout. Grant Harrold perçoit le moyen de réaliser un retour progressif vers le Royaume-Uni. Cette installation au sein de l'union européenne permettrait les visites bien plus fréquentes aux membres de la famille royale, ouvrant ainsi la voie à un réchauffement des relations glaciales qu'entretient le couple avec le reste du clan Windsor avant, pourquoi pas, de revenir de manière plus définitive sur les terres royales. Reste à savoir si le drapeau blanc sera un jour levé.