Le prince Philip, mari de la reine Elizabeth d'Angleterre, blessé par des poneys furieux !

L'infirmerie royale se remplit outre-Manche ! Après Lady Camilla, voilà que le duc d'Edimbourg et époux de la reine Elizabeth II d'Angleterre s'est à son tour amoché !

A tout faire sur les chapeaux de roues, ces royaux s'abîment, et le prince consort Philip a sacrifié sa cheville à sa passion : l'attelage. Rassurez-vous : point de collision avec le fauteil roulant de Camilla Parker-Bowles, l'épouse du prince Charles, qui roule à fond les ballons depuis qu'elle s'est fracturé le péroné lors d'une randonnée en Ecosse. Non. Le prince Philip s'est fait mal tout seul, comme un grand.

A 88 ans, le duc d'Edimbourg n'en démord pas, malgré les admonestations de son entourage, qui aimerait le voir mettre un frein à ses activités sportives en raison de sa santé et de son âge : il a déjà dû renoncer au polo et à la voile, deux de ses dadas d'avant, laissez lui l'attelage, dont il avait d'ailleurs mis au point les premières règles !

Le goût de la performance a toutefois un prix : vendredi, Buckingham annonçait que le prince s'est blessé à la cheville, tandis que sa palfrenière déplorait une blessure au coude, suite à l'emballement des poneys du carrosse qu'il conduisait ! "Le duc a subi une blessure légère à la cheville" lorsque le véhicule a heurté une souche, "qui n'a pas nécessité de soins hospitaliers. Il a mené cette après-midi (vendredi) une activité normale", indiquait un porte-parole. Quant aux poneys, ils ont été retrouvés sains et saufs.

Depuis 2007, les problèmes cardiaques dont Philip souffre depuis 1992 sont connus du public, mais il ne souhaite pas pour autant réduire le niveau de ses engagements - il est l'un des monarques les plus actifs. En avril 2008, il avait été hospitalisé pour une infection à la poitrine, suscitant l'inquiétude, mais opérant un prompt rétablissement.