À 20 ans, Léonard Trierweiler poursuit brillamment des études de cuisine auprès des meilleurs chefs, grâce à son parcours dans la prestigieuse école Ferrandi. Mais, comme beaucoup de jeunes de son âge, il ne manque pas de sortir et de faire la fête au risque, parfois, de déraper... Interrogé par Gala, Léonard Trierweiler a accepté de sortir du silence à la suite de son arrestation survenue l'hiver dernier alors qu'il avait grillé un feu rouge sur son scooter dans Paris.
Un écart de conduite assez banal mais qui avait donné lieu à un éthylotest ainsi qu'à un test de dépistage de stupéfiants, tous les deux positifs selon les informations fournies à l'époque par Closer. L'an dernier, il avait défrayé la chronique en étant déjà contrôlé positif à la cocaïne lors d'un contrôle de police... "J'ai fait une fête, je sortais de boîte de nuit, c'est vrai que c'était une soirée arrosée. J'ai fait quelques petites erreurs de jeunesse. Surtout, j'ai fait l'erreur de conduire mon scooter", a-t-il raconté à Gala. Le fils de Valérie Trierweiler, qui participait avec elle à un événement médiatique un mois après sa garde à vue, dit avoir déjà été condamné "à une ordonnance pénale lourde" dont il s'est acquitté.
Léonard Trierweiler, qui se plaint du relais médiatique d'informations qu'il juge "sans fondement", dit avoir été peiné que l'on cite le nom de son école car cela donnait "une image négative". Toutefois, le jeune homme, représenté par les avocats Arash Derambarsh et Elise Arfi, ne semble pas avoir été gêné dans sa scolarité par cette affaire. Il travaille aujourd'hui au restaurant trois étoiles de Guy Savoy et assure que "c'est un honneur". Après avoir obtenu un CAP cuisine, il a poursuivi sur un bac pro et terminera sa scolarité en juillet.
Thomas Montet