Déjà plus de vingt ans que Loana a connu la gloire. En 2001, elle a remporté la toute première saison de Loft Story. Projetée sur le devant de la scène, elle a parfois eu du mal à gérer cette notoriété soudaine. Tentatives de suicide, addiction à l'alcool et autres substances, séjours en hôpital psychiatrique... La grande blonde de 45 ans a vécu une véritable descente aux enfers. Et elle qui a amassé un sacré paquet d'argent durant toutes ces années se retrouve aujourd'hui en difficulté financière !
C'est au cours d'une interview accordée à nos confrères du magazine Public, actuellement en kiosque, que Loana se livre sur le sujet. "En tant qu'artiste, c'est difficile ! Il n'y a plus beaucoup de concerts et d'émissions de divertissement !", lâche-t-elle. Et d'évoquer ses faibles revenus : "Aujourd'hui, je suis au RSA. Je fais quelques dédicaces sur le site Vidoleo, mais ce revenu mensuel n'est pas énorme." Une situation "pas facile tous les jours" pour elle. Rappelons pour information que le Revenu de solidarité active (RSA) est versé à chaque citoyen de plus de 25 ans remplissant certains critères et s'élève à 598,54 euros par mois, pour une personne seule.
Les gens ont dit que je vivais dans une déchetterie !
Un maigre salaire pour faire vivre Loana, qui s'est installée à Vence, dans le sud de la France, avec sa mère. C'est pourquoi elle n'est pas contre un éventuel retour dans la capitale, accompagné forcément d'un nouveau projet. "Si on me propose quelque chose, je reviens à Paris", indique l'ex-candidate de télé-réalité. En attendant, elle se consacre à sa chère mère, elle aussi en difficulté. "Elle ne gagne que 90 euros par semaine et on va devoir partir de chez nous après la trêve hivernale. Il faut que je la place : j'ai trouvé un foyer pour séniors pour dans quelques mois", déclare la star.
Tristes révélations pour le duo qui finira prochainement séparé. Rappelons que dernièrement, Loana avait partagé une vidéo où elle nourrissait des sangliers dans le jardin du domicile familial. Et les internautes avaient été nombreux à remarquer l'état déplorable de l'endroit, rempli de détritus. "Il faut arrêter ! (...) Les gens ont dit que je vivais dans une déchetterie ! C'étaient les sangliers qui avaient ouvert les poubelles et laissé le jardin comme ça", assure-t-elle désormais. De quoi faire taire les mauvaises langues...