A l'été 2020, c'est dans la plus grande discrétion que Lorie Pester est devenue maman. Depuis, la chanteuse et comédienne a déjà évoqué l'arrivée de sa fille Nina, mais jamais avec autant de détails ! Dans une nouvelle interview vidéo dévoilée par le magazine Parents, ce 15 février 2022, la star raconte comment sa "petite pitchounette" est arrivée avec cinq semaines d'avance, alors qu'elle était en vacances près de Bayonne avec Yann, son compagnon.
"Ce qu'elle a voulu faire, c'est arriver le même jour que son papa, le jour de l'anniversaire de son papa (...). Après avoir soufflé les bougies sur les brioches du matin, mon short était trempé et là je regarde mon compagnon, je lui dis : 'Je crois que je viens de perdre les eaux.'" Heureusement, Lorie avait eu "un pressentiment" et, à peine installés dans le Sud-ouest, elle avait déjà regardé les maternités aux alentours, juste au cas où le bébé arriverait plus tôt. Yann, son compagnon, l'a donc conduite à l'hôpital qu'elle avait retenu pour ce cas de figure, à savoir celui de Bayonne.
C'est donc "en tongs et robe de plage" que Lorie est arrivée à la maternité. "Je suis vraiment arrivée en mode touriste à l'hôpital. C'était vraiment les doigts de pied en éventail dans les tongs", se souvient-elle aujourd'hui. Parce qu'elle attendait "un gros bébé", il était prévu que la chanteuse accouche par césarienne. Et même si sa fille est arrivée en avance, elle a préféré s'en tenir à cette méthode plutôt que d'essayer d'accoucher naturellement : non seulement parce qu'elle n'avait pas pris les cours pour apprendre à respirer dans ces circonstances, et parce qu'elle la sentait "vraiment grosse et lourde". Même avec cinq semaines d'avance, Nina faisait 3,5 kilos à la naissance.
Autre difficulté rencontrée avant l'accouchement : une péridurale qui n'a fonctionné que d'un côté, au point que l'anesthésiste a dû la piquer "six ou sept fois" avant que le produit ne fasse effet correctement. "Je m'énerve et je lui dis : 'Mais pourquoi ça marche pas ?' Il me dit : 'Mais oui, mais aussi vous avez le dos trop musclé' (...). Aujourd'hui on rigole, je vais vous dire que sur le moment j'ai pas trop rigolé." Un moment d'autant plus désagréable que l'ancienne patineuse appréhendait cette étape et ce, malgré le fait qu'elle avait déjà été opérée à plusieurs reprises. "Je ne sais pas pourquoi, ça me faisait un peu flipper."
Est ensuite venu le moment d'opérer la césarienne. "Après j'ai entendu son petit cris, son petit pleur et ils me l'ont amenée juste à côté." Une première rencontre écourtée car le personnel médical a d'abord dû s'assurer que le bébé respirait correctement, étant donné le fait qu'il était arrivé avec de l'avance. "J'ai juste eu le temps de lui faire un petit bisou et elle est partie avec Yann." La petite Nina a d'abord profité de son papa, avant de rejoindre sa mère : "Il a fait du peau à peau avec elle et moi le temps de recoudre, et un demi heure après, ils sont arrivés tous les deux et je l'ai eue sur moi et là c'était le plus beau moment de ma vie."