Depuis un petit moment maintenant, Magali Berdah a réussi à se faire un nom dans le milieu audiovisuel. Véritable patronne de l'influence grâce à son agence Shauna Events, elle se tourne aujourd'hui vers l'animation sur YouTube, où elle va jusqu'à traiter de sujets politiques. Impossible donc de passer à côté du phénomène Magali Berdah. Mais une telle présence dans les médias a ses limites. Magali Berdah doit notamment accepter d'être la cible de vivres critiques et même de messages menaçants.
"Oui bien sûr, ça c'est normal. C'est triste de dire ça mais c'est normal parce que quand on vit sur les réseaux sociaux, quand on créé un business, une économie, on est critiqué. Quand on est une femme et une maman aussi, quand on a une certaine vie, ça pause problème. Et puis sur les réseaux sociaux, comme c'est anonyme, vous faites face à de la violence extrême et à des menaces mais c'est comme ça, ça fait partie de ma vie maintenant", a-t-elle confié auprès de Jordan de Luxe dans son émission L'Instant De Luxe 2.0 en partenariat avec Purepeople.com.
Si Magali Berdah assume tout à fait les conséquences de sa notoriété, elle est beaucoup plus préoccupée lorsqu'il s'agit de ses trois filles, Shauna, Victoria et Shelly (nées d'une ex-union). Et pour cause, l'une d'entre elle, l'aînée de 14 ans, a par exemple déjà été victime de harcèlement, à tel point qu'elle a fini par être déscolarisée de son école. Ainsi, Magali Berdah a pris une grande décision pour protéger ses enfants à tout moment. "On a des agents de sécurité", a-t-elle révélé. Lorsque l'animateur lui a demandé si ces agents les accompagnaient toute l'année et 24h sur 24, Magali Berdah a hoché de la tête pour confirmer.
D'après elle, cette mesure est nécessaire en France où l'insécurité est plus importante qu'à Dubaï où elle a songé à s'installer un temps. "J'ai fait le choix de rester en France avec tout ce qu'il s'est passé l'année dernière (le meurtre de sa belle-soeur, ndlr), on s'est dit qu'on ne pouvait pas quitter le pays. On ne se sentait plus d'être loin. Mais en restant ici, ça rajoute le problème de la sécurité parce qu'à Dubaï c'est hyper sécurisé", a-t-elle souligné.