C'est l'une des figures emblématiques de N'oubliez pas les paroles, sur France 2. Magali Ripoll est l'une des choristes de l'émission présentée par Nagui. Un rôle qu'elle endosse depuis pas moins de seize ans. Quand elle n'est pas sur le plateau du jeu télévisé ou en train de se consacrer à ses projets musicaux, la femme de 45 ans profite de sa famille. Bien que discrète sur sa vie privée, elle a accepté de faire quelques confidences lors de son interview avec Alexandra Roost.
Elle fait partie des personnalités qui préfèrent préserver leur vie privée. Si elle n'a aucun mal à évoquer sa vie professionnelle, Magali Ripoll ne s'étale que très peu sur tout ce qui est personnel. "Je suis assez pudique de ma vie en général. Je ne mets pas de photos de chez moi, de ce que je mange, de où je suis en vacances, avec qui, de photos de ma famille parce que je ne vois pas l'intérêt d'étaler ça", a-t-elle confié. Mais dans Allo Alex, elle a accepté de se livrer sur sa famille.
Dans un premier temps, elle a évoqué l'homme qui partage sa vie. Un certain Antoine qui évolue dans le milieu de la musique également. Il est en effet batteur et guitariste, une passion qui l'a amené à accompagner des artistes comme Axel Bauer. "C'est quelqu'un de discret. Il n'est pas sans arrêt en train de faire des stories ou des selfies à chaque fois qu'il fait un truc, parce qu'il trouve ça inutile. C'est quelqu'un de juste, de droit, d'intègre qui ne se pose pas ce genre de questions, il n'est tellement pas dans la superficialité", a-t-elle déclaré.
Ensemble, les tourtereaux ont eu une fille prénommée Chloé (née en 2012) et un garçon qui s'appelle Marius (né en 2018). Un enfant qu'elle a eu plus tardivement comme l'a soulignée la présentatrice. "Un beau matin, j'ai envisagé de fermer la porte au fait d'avoir un deuxième enfant. (...) La vie a décidé de lui laisser sa place. Si ça n'avait pas fonctionné, je n'aurais pas fait de traitements pour que ça fonctionne", a donc répondu Magali Ripoll. Mais cela a fonctionné. Et il lui a fait une petite frayeur en naissant deux mois avant le terme, un "prématuré modéré" donc. "J'ai eu hyper peur, c'est hyper flippant, mais on est tellement bien encadré (...) C'est l'expérience qu'il fallait vivre", s'est-elle souvenue. Aujourd'hui, tout le monde va bien et c'est ce qu'elle retient.