Comme chaque semaine depuis maintenant un an et demi, Léa Salamé était aux commandes d'un nouveau numéro inédit de l'émission baptisée Quelle époque ! samedi 20 janvier 2024 sur France 2. Dans ce talk-show diffusée en deuxième partie de soirée, la journaliste accueille de nombreuses personnalités sur son plateau. Cette semaine, l'animatrice a notamment reçu l'entrepreneur Marc Simoncini, qui n'est autre que le fondateur du célèbre site de rencontre Meetic. Les téléspectateurs le connaissent quant à eux principalement grâce à ses apparitions sur M6. En effet, Marc Simoncini est l'un des visages emblématiques de l'émission Qui veut être mon associé ? depuis son lancement sur la chaîne. Pour rappel, ce programme met en scène des porteurs de projets qui viennent présenter leur entreprise devant un jury de cinq investisseurs, dont fait notamment partie Marc Simoncini.
Les entrepreneurs demandent ensuite un apport financier précis contre un pourcentage de leur société. À l'issue de questions et de discussions où le modèle du projet est décortiqué, chaque membre du jury décide ou non de suivre le projet via un investissement. Ayant développé avec succès plusieurs sociétés au fil des années, Marc Simoncini a été interrogé par Léa Salamé sur les raisons de son succès en tant qu'entrepreneur. "Est-ce qu'il faut savoir virer des gens pour être un grand entrepreneur ?", lui a notamment demandé la journaliste. "Moi je n'ai jamais su le faire. Je pleure quand je les vire. Je n'ai jamais été très bon. Du coup, on embauche des gens qui les virent", a révélé Marc Simoncini, ce qui a provoqué l'hilarité d'une bonne partie du plateau. "C'est l'une des très bonnes réponses de la soirée", a toutefois noté Christophe Dechavanne, tout en soulignant le cynisme de l'entrepreneur.
"Ce que je voulais dire, c'est qu'il faut être dur", a ensuite ajouté Marc Simoncini. Au cours d'un précédent entretien, l'entrepreneur avait révélé ce qu'il cherchait dans les projets qui lui sont présentés chaque année durant l'émission Qui veut être mon associé ?. "Je fais très attention au dossier dans lequel je rentre et je veux absolument que ce soit un dossier qui puisse avoir un impact réel, mesurable sur la biodiversité, la nature, le climat... Je veux investir que dans ce type de projet désormais. La première question à se poser c'est : est-ce qu'on arrive à régler un problème, la deuxième question c'est : est-ce qu'on gagnera de l'argent avec ça ?", avait-il affirmé.