S'il a toujours été très discret sur sa vie amoureuse, Marcel Desailly se retrouve sous le feu des projecteurs depuis plusieurs jours maintenant. Ancien joueur de talent, passé par les plus grands clubs, de l'AC Milan à Chelsea, le natif d'Accra, au Ghana, fait partie des joueurs les plus populaires de la génération 98, mais il a toujours su rester en retrait lorsqu'il s'agit de la vie personnelle. Pourtant, depuis le mois de janvier dernier, le sportif de 55 ans se retrouve accusé par son ex compagne, Cosma Batista de Alcantara, avec qui il a vécu de 2010 à 2018, d'être le père de sa fille, née en 2014.
D'après les informations du Parisien, Marcel Desailly est attendu au tribunal judiciaire de Paris prochainement. Son ancienne compagne souhaite faire reconnaître la paternité de son enfant et assure que l'ancien footballeur en est le père. Une petite fille prénommée Victoria, exactement comme la fille aînée du champion du monde et d'après la jeune maman, c'est ce dernier qui aurait choisi le prénom, même si c'est elle qui est allée l'inscrire à l'état civil. En plus de la reconnaissance de paternité, Cosma Batista de Alcantara souhaiterait également que le champion du monde lui verse une pension mensuelle. D'après les informations de nos confrères, la jeune mère de famille a réclamé pas moins de 5000 euros par mois à son ex compagnon pour mettre fin à la procédure judiciaire.
Une proposition refusée par Marcel Desailly, qui lui verse déjà une aide financière de 500 euros par mois, comme l'indique le Parisien. D'après nos confrères, le grand copain de Robert Pirès n'aurait pas les fonds nécessaires pour subvenir aux besoins de Cosma Batista de Alcantara à la hauteur qu'elle demande. "Je ne suis plus sportif, je ne vis pas en France, lui aurait-il répondu. Tu parles de 5 000 euros. Mais ça va être pris où ? Tu ne connais même pas mes revenus. Il ne me reste même pas ça...", aurait déclaré l'ancien footballeur, déjà père de 4 enfants.
Ce n'est pas la première fois que Marcel Desailly se retrouve devant la justice pour des faits similaires. En 2016, une autre enfant naturelle du sportif, Aïda, née en 1990, avait été reconnue comme sa fille par la justice.