Comme prévu, Mariah Carey a officialisé son arrivée sur la scène de l'hôtel-casino Caesars Palace de Las Vegas. La star, qui a dévoilé l'information lors de son passage sur le plateau d'Ellen DeGeneres, doit prendre la place de Céline Dion le temps de son absence.
Mettant fin à des semaines de rumeurs, Mariah Carey (44 ans) a donc accordé, mercredi 14 janvier 2015, une interview à la star du petit écran pour faire l'annonce de son arrivée à Las Vegas. "Effectivement, je vais faire ma toute première résidence à Vegas, au Caesars. C'est un événement particulier pour moi, a-t-elle déclaré. Et, une fois encore, j'espère que les fans prendront du plaisir parce que je vais faire le show. Un show qui a d'ailleurs plus ou moins été inspiré par mes tubes classés numéro 1 mais ce sera désormais plutôt une version nouvelle de 18 d'entre eux." Et d'ajouter, à propos du fait de reprendre de vieux tubes : "Je n'ai jamais fait cela auparavant. Pour certaines de ces chansons, je me suis dit 'vraiment, je vais reprendre ça, d'accord ?'" La star se produira aux dates suivantes : 8, 11, 12, 15, 18, 19, 22, 25 et 26 juillet 2015.
L'interview, qui doit être diffusée ce jeudi 15 janvier, ne permettra sans doute pas de connaître pour autant le montant du contrat signé par Mariah Carey pour se produire durant l'absence de Céline Dion, dont le retour est de plus en plus incertain alors qu'elle s'occupe de la santé de son mari René Angélil, opéré d'un cancer de la gorge en 2013. Toutefois, selon le site américain TMZ.com, qui a obtenu une vidéo de la chanteuse à Las Vegas sortant tout sourire de la boutique Palace Cheesecake Factory il y a quelques jours, la diva n'aura pas accepté de se produire pour moins de 475 000 dollars le show... soit le montant touché par sa concurrente du Planet Hollywood : Britney Spears.
Alors que les dirigeants du Caesars Palace se réjouissent d'avoir trouvé une tête d'affiche capable d'attirer autant de spectateurs que la diva québécoise, sa maison mère Caesars Entertainment Operating, vient de déposer le bilan, comme c'était prévu depuis plusieurs semaines. La filiale, qui ne remet pas en cause les bons chiffres de la salle de spectacle de Las Vegas contrairement à d'autres établissements qu'elle possède un peu partout, est désormais placée sous la protection de la loi américaine sur les faillites.
Thomas Montet