Voilà déjà six ans que Marie Drucker a obtenu le meilleur des rôles : celui de maman. Avec son compagnon, le haut fonctionnaire et chef d'entreprise français Mathias Vicherat, la jolie brune a accueilli son petit garçon, Jean, en avril 2015. Depuis, elle a opéré un virage à 180° dans sa carrière. En effet, tout juste un an après la naissance de son fils, Marie Drucker a choisi de quitter le JT de France 2 pour se consacrer à des projets plus personnels. Comme le lancement de sa société de production No School Productions et l'écriture.
Avec Sidonie Bonnec, elle a notamment partagé sa découverte de la maternité avec Maman, pour le meilleur et pour le reste. Puis, les deux copines ont sorti un autre ouvrage pour aider les lecteurs à prendre soin d'eux sans faire de mal à la planète, Naturel, pour le meilleur et pour le reste. Marie Drucker est de retour dans les librairies depuis ce jeudi 29 avril 2021 avec En Forme !. Un livre dans lequel elle partage son optimisme contagieux et ses belles idées pour vivre au quotidien en étant heureux.
L'occasion d'apprendre que Marie Drucker est plus épanouie que jamais depuis qu'elle a passé le cap des 40 ans ! Un cap très important qui a fait d'elle une maman. "J'ai la chance de toujours avoir l'impression d'être âgée de 25 ans ! C'est à 40 ans que j'ai eu mon fils. Je savais que la vie allait être très différente après sa naissance... Ça a été un souhait d'avoir un enfant pas trop tôt. Je préfère dire ça que 'tard'. C'est moins culpabilisant ! Le bon moment, c'est le bon moment pour soi", a-t-elle déclaré pour Nice Matin. Ainsi, la quarantaine apparaît comme "une période extraordinaire" pour la nièce de Michel Drucker : "On est plus accompli, on s'est débarrassé de choses encombrantes. C'est l'autoroute de la joie !".
Une philosophie de vie positive qu'elle espère désormais transmettre à son petit garçon. "Il y a aussi une question d'éducation dans notre moral. Que j'essaie d'inculquer à mon fils. On peut être triste ou en colère mais on ne boude pas et on se lève de bonne humeur. Quand on est plusieurs sous le même toit, c'est une politesse", estime-t-elle.
Une interview à retrouver en intégralité dans le journal Nice Matin.