Réactualisation : Découvrez ci-dessus les images de la "catastrophe" vestimentaire et cathodique de Marie Drucker lors du 20 heures de France 2 du 30 octobre !
Le 2 novembre : Parfois, passer sa vie sous l'oeil des caméras, ce n'est vraiment pas le pied. Ça peut même les casser, les pieds. En l'occurrence, Marie Drucker en a fait les frais, et le Canard Enchaîné, dans son édition du jeudi 3 novembre, ne marche pas sur des oeufs pour le faire remarquer.
L'hebdomadaire satirique bien palmé ébruite un terrible couac survenu samedi soir, au 20 Heures de France 2, dont la charmante Marie Drucker assurait, comme toujours, la présentation, en relais de ses collègues David Pujadas et Laurent Delahousse. Une boulette si énorme que le rédacteur en chef de l'édition, Pierre Géraud, et la douce Marie sont en ébullition.
"Un scoop manqué ? Un grand reportage oublié ? Une mauvaise info donnée à l'antenne ?", s'interroge le Canard Enchaîné, sur des charbons ardents. Après enquête, pire. Et l'équipe de réalisation se fait botter les fesses. L'irréparable faute : avoir filmé, pendant le générique de fin du journal télévisé, les pieds de Marie Drucker. De loin, certes ; avec ce mouvement de caméra typique de la fin d'édition, comme une sortie en douceur du monde de l'info, certes. Sauf que Marie Drucker, sous ce splendide tailleur blanc cassé qu'elle arborait et qui lui donnait une allure remarquable, portait... des baskets. Drame. Les pieds du délit.
Effectivement, si vous observez attentivement une de nos captures d'écran ou revisionnez l'émission sur Internet, vous distinguerez, subliminalement, une paire de baskets (des Nike, semble-t-il) aux pieds de la belle journaliste.
Le groupe France Télévisions va-t-il être obligé de modifier son règlement intérieur, ou de mettre à pied des cadreurs ? Est-ce cet impair qui a éliminé Marie Drucker de la course au titre de Madame Beauté du PAF ? Une foule de questions naît de cette catastrophe. Imaginez le séduisant "M. Parfait" Harry Roselmack, avec ses costumes impeccables, en espadrilles...
G.J.