Alors que Marina Kaye sort son nouveau single Mon Everest ce 11 octobre, la chanteuse est au coeur d'un véritable règlement de compte familial. Sur Facebook, sans dument le nommer, l'interprète d'Homeless s'en est pris à son père, Jean-Marc Dalmas, en épinglant sur Facebook "des statuts d'insultes" faits à l'encontre de sa personne et de son équipe. "Je vois beaucoup de personnes se laisser enliser dans les mensonges qu'il crée et je tiens sans créer de conflit a tout de même rétablir les choses", avait écrit la jeune Marseillaise de 18 ans dont le véritable nom est Marina Delmas. "Je ne souhaite en aucun cas divulguer ma vie privée passée, ça vous l'avez toujours su, mais je pense que beaucoup d'entre vous se doutent déjà que derrière les chansons de l'album se cache une histoire en rapport avec cet individu qui aujourd'hui s'agite de toutes ses forces pour dit-il 'détruire ma carrière'", croit-elle savoir, se disant "profondément choquée et blessée", demandant promptement à ses fans de cesser "d'alimenter cette page d'insultes et de diffamation".
Depuis plusieurs jours, son papa multiplie les posts où il affirme que sa fille a été "manifestement javellisée" et qu'elle est sous "l'emprise psychologique" d'un "système machiavélique" désireux de "faire voler en éclat une famille" et, donc, la rendant "isolée des réalités du monde extérieur". En ligne de mire également, des révélations sur le passé dont Marina se fait l'écho dans ses textes. Si l'intéressée a déjà affirmé que ses blessures ne se sont pas toutes refermées, elle n'en a jamais parlé ouvertement.
Mais aujourd'hui, une jeune femme qui se présente comme son "amie", Bérengère Bobéda, tente de faire la lumière sur cette enfance trouble. Marina Kaye relaie les propos de cette amie dont les révélations sont absolument accablantes. "J'ai été amie avec Marina avant même son succès, et avant que Jan la sauve", dit-elle par exemple. Le prénom Jan - qui n'est autre que le manager de Marina - apparaît aussi sur la page Facebook de Jean-Marc Dalmas, sous le nom de "Jan le Crapaud". Et cette Bérengère ne lésine pas sur les révélations. "À cette époque-là, Marina annulait certaines de nos sorties car il fallait aller au commissariat..." Ce commentaire, d'abord supprimé sur Facebook, a été reposté par la jeune femme et amie de Marina Kaye. "Je ne me tairais plus", conclut-elle.
Sur Facebook, Jean-Marc Dalmas avait déjà évoqué le nom de Bérengère Bobéda. Le 8 octobre, il postait ainsi un "'copié collé' de [ses] conversations, avec Bérangère Bobéda, qui [l'a] souvent sollicité et avec laquelle [il] n'a eu que de très très bons contacts, aujourd'hui elle pète sur [lui] sur tous les réseaux sociaux". C'est probablement en écho à ce commentaire que Bérangère a de nouveau parlé aujourd'hui, alors que l'affaire prend encore plus d'ampleur... Marina Kaye a depuis supprimé son retweet des propos de Bérangère. La rédaction de Purepeople a, quant à elle, contacté le père de la chanteuse pour en savoir plus.
Christopher Ramoné