Marion Bartoli n'a jamais été aussi heureuse. Ce bonheur, elle le doit à un jeune homme de 29 ans qui exerce la profession de footballeur professionnel en Belgique : Yahya Boumediene.
Depuis que l'ancienne tenniswoman de 34 ans a officialisé leur romance sur les réseaux sociaux en juin dernier, elle ne se gêne plus pour partager sa plénitude avec le monde entier. Seul ombre au tableau pour les amoureux, ils sont souvent séparés. Marion habite à Dubaï et Yahya en Belgique. Ces périodes d'éloignement sont souvent l'occasion pour Marion Bartoli de publier des messages enflammés.
Le dernier en date remonte au 17 juillet 2019. Celle qui a remporté le tournoi de Wimbledon en 2003, année où elle a également mis fin à sa carrière, a publié une photo d'elle et son compagnon prise à la gare Bruxelles Midi. "Ma vie a changé en bien mieux le jour où j'ai vu pour la première fois ta petite tête, que je pourrai passer ma vie entière à embrasser, à la gare de #bruxelles midi Je t'aime @yahya_boumediene et tu me manques affreusement", a-t-elle écrit en légende. Yahya Boumediene a également de délicates attentions pour sa compagne, mais avec des textes bien plus brefs. "Ma Queen", a-t-il publié le 16 juillet dernier. Touchée, Marion Bartoli n'a pas manqué de lui répondre : "Mon roi !! Je t'aime @yahya_boumediene pour la vie."
Sa relation avec Yahya est si intense qu'elle envisage déjà de se marier avec lui après quelques mois seulement de relation. Le couple s'est rencontré via un ami commun.
Lors d'une interview exclusive accordée à Purepeople.com en mai dernier, Marion Bartoli avait déclaré : "On espère se marier fin 2019 et commencer notre famille l'an prochain." À l'époque, elle n'avait pas encore révélé que l'homme de sa vie était Yahya, le décrivant simplement comme un grand brun musclé.
Marion Bartoli apprécie à sa juste valeur ce bonheur à deux puisqu'avant cela, elle a connu une relation destructrice. Dans son livre Renaître sorti le 24 avril dernier, elle revient en détail sur son histoire d'amour toxique avec un Anglais qu'elle appelle D., qui l'a conduite à l'anorexie.