C'est une sieste touchante qui va émouvoir ses abonnés : papa gâteau, Matt Pokora a partagé ce vendredi une photo craquante et rare de son fils en train de dormir allongé sur lui. Rare car on voit son visage plus que d'habitude. Et du haut de ses 2 ans et demi, le petit Isaiah qui grandit décidément à vue d'oeil, semble parfaitement serein dans les bras de son célèbre père !
Protecteur, celui-ci a cependant caché une partie de son visage d'un émoji en forme de coeur... ce qui n'empêche pas de remarquer à quel point le garçonnet lui ressemble, ainsi qu'à sa maman Christina Milian, avec ses cheveux courts et son tee-shirt bariolé. Une maman qui n'apparait pas sur la photo mais qui devait sans doute s'occuper de leur autre bambin, Kenna, qui a fêté son premier anniversaire en avril dernier.
Deux petits garçons, qui n'ont qu'un peu plus d'un an d'écart, et qui semblent déborder d'énergie, comme le montrent régulièrement leurs parents sur les réseaux sociaux. Heureusement, tous les deux sont très complémentaires et peuvent compter sur l'aînée de la famille, Violet, née d'un premier mariage de l'actrice et chanteuse américaine. Ado, la jeune fille considère cependant le chanteur français comme un deuxième papa.
Une petite famille qui vit entre deux pays : en effet, s'ils résident la plupart du temps à Los Angeles, ils rentrent également souvent en France pour que le chanteur puisse travailler... et il semblerait qu'ils y soient actuellement. La semaine dernière, Matt Pokora avait posté une photo de lui aux Etats-Unis sur son compte Instagram avec un mystérieux message : "A bientôt la Californie ! Il est temps de rentrer à la maison, je suis attendu pour une nouvelle aventure..."
Alors, nouvel album ? Nouvelle pièce de théâtre ? Pour le moment, aucune information n'a filtré mais il semble en tout cas plus épanoui que jamais dans cette nouvelle vie entre deux cultures. D'ailleurs, il avait confié que ses fils parlaient sans problème les deux langues mais que sa femme et sa belle-fille avaient quelques problèmes avec le français. Qui sait, peut-être feront-elles des progrès cet été...