Matthieu Delormeau sort du silence via ses proches : ils démentent qu'il ait tenté de mettre fin à ses jours (EXCLU)

Le 1er juillet dernier, la nouvelle avait étonné beaucoup de personnes. Matthieu Delormeau avait été arrêté par la police en bas de chez lui à Paris après avoir été repéré en train d'acheter de la cocaïne à son dealer. Il a ensuite écopé par le parquet de Paris d'une convocation en "injonction thérapeutique pour usage de stupéfiants". Et, toujours selon Le Parisien, son appartement avait été perquisitionné.

Très vite, son amie Capucine Anav avait fait part de son étonnement déclarant que Matthieu Delormeau avait toujours été contre tout ça et qu'il avait même aidé des personnes à s'en sortir. Le principal intéressé, lui, est toujours resté silencieux.

Mais voilà qu'il y a quelques heures, Public a sorti que l'ex-chroniqueur de TPMP aurait tenté de mettre fin à ses jours à son domicile par le biais d'une consommation excessive d'alcool. Matthieu Delormeau aurait alors plongé dans un coma éthylique. S'en est trop pour ses proches qui ont voulu sortir du silence.

Sept jours après que l'affaire n'explose et alors qu'il ne s'est jamais exprimé encore, les proches de Matthieu Delormeau ont donné de ses nouvelles à Purepeople.com. Face à ces informations concernant son envie de mettre fin à ses jours, ils tiennent à faire savoir que c'est totalement faux et surtout à remercier les téléspectateurs et ceux qui s'inquiètent pour lui et à les rassurer. Matthieu Delormeau est en train de se remettre en forme tranquillement, loin des rumeurs les plus alarmantes. Il demande de la quiétude pour retrouver un quotidien serein.

Le dealer, un quinquagénaire pas connu des services de police, a été interpellé avec une quinzaine de grammes de cocaïne sur lui. Une dizaine de minutes plus tard, son client est identifié : Matthieu Delormeau. Le domicile du dealer, situé à Boulogne-Billancourt, en banlieue proche de la capitale, a également été fouillé. Sur place, les forces de l'ordre ont mis la main sur 5 grammes de cocaïne et des centaines d'euros.

Ce dernier a été condamné jeudi en fin de journée par le tribunal correctionnel de Paris à deux ans de prison, dont un an ferme, avec obligation de porter un bracelet électronique et une obligation de soins

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