Depuis plusieurs années, la chirurgie esthétique est devenue monnaie courante dans le milieu de la télé-réalité. Augmentation mammaire, rhinoplastie, implants fessiers... On ne compte plus celles qui ont opéré des métamorphoses physiques. Mais les internautes arrivent encore à être déçus par certaines de leurs personnalités préférées, comme Mélanie Da Cruz. Et pour cause, elle a opté pour des injections aux lèvres, ce qui est loin d'être passé inaperçu.
"Trop dommage que tu te fasses des injections à la bouche. C'est horrible", lui a-t-on adressé en masse comme elle en a témoigné sur Snapchat lundi 18 janvier 2021. Des critiques auxquelles elle s'est empressée de répondre, assumant totalement sa décision. "Peu importe ce qui est vrai pour vous. C'est moi qui la porte ma bouche, c'est moi qui porte l'acide... À partir du moment où il ne me dérange pas bah, pourquoi ça vous dérange ?", s'est-elle d'abord étonnée. Et de continuer avec le franc-parler qu'on lui connaît, histoire de faire taire les mauvaises langues : "À ce que je sache, je ne vais pas chez moi pour vous dire de prôner ça ou ça... Donc si j'ai envie d'avoir même plus gros, de mettre un implant sur la lèvre, je ne sais pas quoi vous dire. Les avis comme ça, je m'en moque pas mal. Si je le fais c'est parce que ça me plaît à moi. Si ça ne plaît pas aux autres, c'est fortement dommage, mais moi je m'en fous. Demain, quelqu'un qui porte 66 kilos sur chaque fesse parce qu'elle a envie d'un gros boule... Je m'en fiche. Si vous voulez, j'ai une bouche de la taille d'un zodiac !"
À noter que ce n'est pas la première fois que la femme du footballeur Anthony Martial et maman d'un petit Swan (2 ans) retouche à son visage. En 2017 déjà, elle s'était filmée en pleine séance de "traitement anti-vieillissement et repulpeur par haute fréquence à base d'acide hyaluronique". Et l'année suivante, en 2018, elle a révélé avoir eu recours à la chirurgie esthétique. "Voilà les amis, j'ai craqué ! J'ai été obligée de toucher à mon nez. En fait sur mon nez le cartilage n'était pas protégé par l'os. (...) À la base, j'y suis allée pour qu'ils remettent la narine en face et en ouvrant il se sont aperçus de la catastrophe à l'intérieur... C'était un vrai chantier", a-t-elle raconté à l'époque.