C'est l'un des feuilletons préférés des Français, qui suivent les aventures des nombreux protagonistes tous les soirs de la semaine sur France 2. Avec Un si grand soleil, le service public a su capter l'intérêt des téléspectateurs, qui se sont pris d'affection pour les personnages, tous installés dans la région de Montpellier et parmi lesquels on retrouve quelques têtes connues, à l'image de Tonya Kinzinger ou encore Mélanie Maudran. Les deux actrices se sont connues dans Sous le soleil et le destin a fait qu'elles se recroisent aujourd'hui dans cette nouvelle série.
Mélanie Maudran semble aussi épanouie dans le rôle de Claire dans Un si grand soleil, que dans celui de maman, son rôle dans la vraie vie. En couple et mariée avec Thierry Ascione, un ancien joueur de tennis professionnel, elle a eu la chance d'avoir deux enfants. Deux garçons de 7 et 8 ans, dont elle est très proche et avec lesquels elle passe de bons moments. En interview pour Nous deux, l'actrice de 43 ans a bien voulu en dire plus sur la relation qu'elle tente d'avoir avec eux, mais également les valeurs qu'elle tente de leur inculquer au quotidien. "Mes fils sont encore petits. Je tiens à préserver leur innocence afin qu'ils puissent bien grandir. Je n'anticipe pas leurs questions mais quand ils abordent un sujet, je me sers des livres comme base de discussion. Mon mari et moi, nous les entourons d'amour, je suis convaincue que c'est le ciment de leur construction", explique-t-elle.
Je me rends compte que cela fera partie de la vie de mes enfants. C'est générationnel
Un rôle qu'elle prend très à coeur, même si les changements dans la société actuelle ne sont pas de nature à la rassurer. "On leur apprend à dissocier le bien du mal. Plus tard, il faudra régler cette relation aux écrans, aux réseaux sociaux. Moi-même, je m'y suis mise au lancement d'Un si grand soleil. Avant, je n'étais pas du tout présente sur les réseaux, je vivais très bien sans", assure Mélanie Maudran, avant de conclure sur le sujet : "Je me rends compte que cela fera partie de la vie de mes enfants. C'est générationnel. Mais on va y aller petit à petit. D'abord le téléphone en 6e, après on avisera. Les aimer, c'est aussi leur accorder de la liberté. Reste à trouver le bon équilibre."