La mésaventure maritime de son époux aurait-elle ébranlé le bon sens de la princesse Mette-Marit de Norvège ? Ou le soulagement de le savoir sain et sauf l'aurait-il à ce point poussée à toutes les audaces ?
Quelques jours après la chute de son époux le prince héritier alors qu'il naviguait seul dans les environs de l'île d'Heroya (une péripétie qui s'est bien terminée), Mette-Marit apparaît radieuse, à Vienne, depuis samedi dernier.
La cité autrichienne accueille en effet la XVIIIe conférence internationale sur le sida, qui s'est ouverte au lendemain du somptueux Life Ball inaugural, qui a investi des lieux prestigieux dans le cadre gala de l'amfAR (Hôtel de ville, Parlement, ancien théâtre royal...), dont la sublime Dita Von Teese fut l'une des héroïnes.
Ce sont pas moins de 20 000 intervenants - scientifiques, grands décideurs, gens de terrain ou encore activistes - qui doivent enrichir les débats de ce grand forum qui s'étale sur six jours et entend poursuivre un combat ouvert il y a trois décennies et toujours en quête de financements.
Si ravissante lors de sa dernière apparition publique (c'était aux noces de la princesse Victoria de Suède), Mette-Marit, membre de plusieurs organismes dévolus à la lutte contre le sida, s'est essayée à plusieurs styles au gré de ses différentes sorties viennoises - soirée inaugurale le 18, où elle a rencontré Annie Lennox (Eurythmics), expo le 19, etc. Avec des réussites diverses ; on vous laisse juger sur pièce...