Michael Fassbender et Charlize Theron en couverture de l'édition du mois d'août du magazine W
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Son charisme animal fait des merveilles sur les écrans, comme sur les couvertures de revues. Michael Fassbender est un sujet parfait pour tous les objectifs, que ce soit celui d'une caméra ou d'un appareil photo, le luxueux magazine W le prouve une nouvelle fois. Posant aux côtés de la superbe Charlize Theron, sa partenaire dans l'ambitieux Prometheus de Ridley Scott (en salles depuis le 30 mai dernier), il forme avec elle un couple envoûtant, entre ombres et lumière.
Michael Fassbender cumule d'innombrables interviews, ce qui n'est pas étonnant quand on sait à quel point chacun des personnages qu'il incarne depuis le début de sa carrière est fascinant. Affrontant les portes de la faim et de la mort dans Hunger, le film qui l'a révélé au monde entier, il est implacable dans Inglourious Basterds, impitoyable dans X-Men : le commencement, intrigant dans Dangerous Method et obsessionnel dans Shame.
Ses projets continuent d'être toujours plus alléchants. Il truste les salles ce mois de juillet avec Piégée de Steven Soderbergh et la nouvelle adaptation de Jane Eyre. Le futur est prometteur puisqu'il a retrouvé son ami le cinéaste Steve McQueen pour Twelve Years as a Slave, et Ridley Scott pour The Counselor.
Insatiable, il se lance dans un défi dangereux : celui de faire vivre sur écran de cinéma un jeu vidéo. On sait combien les adaptations au cinéma de jeux vidéo ne sont pas synonyme de réussite (Max Payne par exemple), mais qu'importe. Michael Fassbender a choisi d'être acteur et coproducteur de la transposition au cinéma du célèbre jeu Assassin's Creed. Gage de qualité, la filiale cinéma de l'éditeur vidéo du jeu, Ubisoft, assurera l'adaptation : "Chez Ubisoft Motion Pictures, nous considérons d'une manière générale le contrôle créatif comme un élément très important. Car l'adaptation sur grand écran doit conserver toutes les valeurs du jeu. Nous avons donc préféré conserver totalement la main sur le développement d'Assassin's Creed, en indépendant avant d'y attacher un studio", explique le directeur général Jean-Julien Baronnet.
Michael Fassbender cumule d'innombrables interviews, ce qui n'est pas étonnant quand on sait à quel point chacun des personnages qu'il incarne depuis le début de sa carrière est fascinant. Affrontant les portes de la faim et de la mort dans Hunger, le film qui l'a révélé au monde entier, il est implacable dans Inglourious Basterds, impitoyable dans X-Men : le commencement, intrigant dans Dangerous Method et obsessionnel dans Shame.
Ses projets continuent d'être toujours plus alléchants. Il truste les salles ce mois de juillet avec Piégée de Steven Soderbergh et la nouvelle adaptation de Jane Eyre. Le futur est prometteur puisqu'il a retrouvé son ami le cinéaste Steve McQueen pour Twelve Years as a Slave, et Ridley Scott pour The Counselor.
Insatiable, il se lance dans un défi dangereux : celui de faire vivre sur écran de cinéma un jeu vidéo. On sait combien les adaptations au cinéma de jeux vidéo ne sont pas synonyme de réussite (Max Payne par exemple), mais qu'importe. Michael Fassbender a choisi d'être acteur et coproducteur de la transposition au cinéma du célèbre jeu Assassin's Creed. Gage de qualité, la filiale cinéma de l'éditeur vidéo du jeu, Ubisoft, assurera l'adaptation : "Chez Ubisoft Motion Pictures, nous considérons d'une manière générale le contrôle créatif comme un élément très important. Car l'adaptation sur grand écran doit conserver toutes les valeurs du jeu. Nous avons donc préféré conserver totalement la main sur le développement d'Assassin's Creed, en indépendant avant d'y attacher un studio", explique le directeur général Jean-Julien Baronnet.