Les mémoires d'Elpidio Reali Jr, Sur les rives de la Seine (As Margens do Sena)
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La famille et les proches d'Elpidio Reali Junior, tout comme le monde du journalisme, sont frappés par la triste nouvelle de la mort de ce grand journaliste brésilien. Elpidio Reali Jr. est décédé à São Paolo le 9 avril à l'âge de 71 ans, des suites d'un infarctus, alors qu'il combattait un cancer, nous apprend un blog du Monde.fr, "America-latina".
Ancien correspondant du quotidien O Estado de São Paulo et de Radio Jovem Pan à Paris, Elpidio Reali Junior, fils d'un commissaire de police, avait commencé comme reporter sportif à 16 ans. Face à la dictature militaire qui a fait rage au Brésil dès les années 1960, il a décidé de s'installer à Paris en 1972. Peu après, son épouse et ses quatre filles, Luciana, Adriana, Mariana et Cristiana, comédienne et ex-compagne de Francis Huster avec lequel elle a eu deux filles, Elisa (13 ans) et Toscane (8 ans), le rejoignent en plein hiver 1974, précise Ici-Paris.
Correspondant du quotidien conservateur de São Paolo, il travaille aussi pour la radio Jovem Pan, devenant alors, selon le blog America-latina, une voix familière pour les auditeurs brésiliens : "Pour les ondes et pour le journal, il a couvert presque 38 ans d'histoire européenne - la Révolution des oeillets au Portugal, l'essor du syndicat Solidarité en Pologne, l'élection de François Mitterrand -, ainsi que la guerre Iran-Irak (1980-1990). Il a interviewé plusieurs présidents français et brésiliens, tout comme des personnalités de la scène internationale, dont l'ayatollah Khomeiny," précise le blog.
Les Brésiliens de passage en France et les exilés se retrouvaient régulièrement dans la résidence, sise rue Ranelagh, de ce doyen des correspondants étrangers en France. En 2007, il a publié ses mémoires du Brésil, Sur les rives de la Seine. Selon Ici-Paris, il souhaitait plus que tout revenir en son pays, il y passera ainsi ses derniers jours.
Ancien correspondant du quotidien O Estado de São Paulo et de Radio Jovem Pan à Paris, Elpidio Reali Junior, fils d'un commissaire de police, avait commencé comme reporter sportif à 16 ans. Face à la dictature militaire qui a fait rage au Brésil dès les années 1960, il a décidé de s'installer à Paris en 1972. Peu après, son épouse et ses quatre filles, Luciana, Adriana, Mariana et Cristiana, comédienne et ex-compagne de Francis Huster avec lequel elle a eu deux filles, Elisa (13 ans) et Toscane (8 ans), le rejoignent en plein hiver 1974, précise Ici-Paris.
Correspondant du quotidien conservateur de São Paolo, il travaille aussi pour la radio Jovem Pan, devenant alors, selon le blog America-latina, une voix familière pour les auditeurs brésiliens : "Pour les ondes et pour le journal, il a couvert presque 38 ans d'histoire européenne - la Révolution des oeillets au Portugal, l'essor du syndicat Solidarité en Pologne, l'élection de François Mitterrand -, ainsi que la guerre Iran-Irak (1980-1990). Il a interviewé plusieurs présidents français et brésiliens, tout comme des personnalités de la scène internationale, dont l'ayatollah Khomeiny," précise le blog.
Les Brésiliens de passage en France et les exilés se retrouvaient régulièrement dans la résidence, sise rue Ranelagh, de ce doyen des correspondants étrangers en France. En 2007, il a publié ses mémoires du Brésil, Sur les rives de la Seine. Selon Ici-Paris, il souhaitait plus que tout revenir en son pays, il y passera ainsi ses derniers jours.
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