Nabilla sans filtre, c'est le nom du docu-réalité de la superstar des réseaux sociaux. Celui-ci se décline en sept épisodes et est attendu sur la plateforme Prime Video le vendredi 26 novembre prochain. La maman de Milann y parle notamment de son ascension fulgurante, elle qui est aujourd'hui suivie par près de 7 millions de personnes sur Instagram. Mais rappelons qu'au départ, Nabilla était loin de passer pour une icône. Au contraire, après sa participation dans Les Anges en 2013 et son fameux "Allô quoi", la jeune femme de 29 ans était davantage moquée. Pire encore, elle confie dans le programme avoir été victime de "média bashing". Une période violente moralement pour Nabilla qui a déjà songé au pire.
"Franchement, à un certain moment, j'en avais vraiment marre. Je n'en pouvais plus de cet acharnement. J'ai eu envie de mourir...", a-t-elle avoué à nos confrères de Télé Loisirs. Et de poursuivre : "Tous les jours, il y avait des nouveaux articles sur moi. Avec de nouvelles rumeurs dégradantes. Je coupais mon téléphone, mais dès que je sortais, je voyais les couvertures des magazines. Dès que j'allumais ma télé, j'entendais mon prénom. On m'inventait une vie, des choses que je n'avais pas faite".
Un épisode en particulier l'aurait "détruite" à ses débuts concernant son père Khoutir. Un magazine people rapportait que ce dernier avait "honte" de sa fille lors de ses passages à la télévision. Sauf qu'en réalité, il n'aurait jamais dit ça. "Un journaliste de ce magazine a appelé mon père à son travail. Ils ont titré en couverture une chose que mon père n'avait pas dite. Ils avaient titré 'J'ai honte de ma fille'. À 20 ans, voir ça, alors que tu n'as pas vu ton père depuis dix ans, ça t'anéantit. C'est dans ces moments-là que j'ai pensé à mourir...", a-t-elle révélé.
De l'eau a coulé sous les ponts depuis cette époque et aujourd'hui, Nabilla entretient de bonnes relations avec les médias et la presse. En tant qu'influenceuse et femme d'affaires reconnue, elle peut se vanter d'avoir gagné en respect. "Les gens sont hyper bienveillants et respectueux avec moi. Quand je suis en promo, j'aime bien faire le tour des plateaux télé. Ça me permet de donner mon avis sur l'actualité, d'échanger avec des journalistes. J'ai aussi plus de facilité à remettre les gens à leur place aujourd'hui. J'ai acquis plus d'expérience. À l'époque j'étais l'agneau dans la bergerie. C'était : viens on l'invite et on lui tape dessus...", analyse-t-elle.
Nabilla était d'ailleurs ravie de faire le show devant les photographes à l'avant-première de Nabilla sans filtre à Paris au côté de son mari Thomas et leur fils Milann.