Dans son autobiographie, Trop vite (Robert Laffont), Nabilla fait des révélations touchantes mais aussi d'autres, plus étonnantes. Devenue star du jour au lendemain grâce à sa fameuse phrase autour du shampoing, la jeune femme a raconté dans son ouvrage quel avait été son plus gros caprice.
Celle qui aime les vêtements de luxe et les beaux hôtels écrit par exemple avoir voulu acheter... une montgolfière ! "Je me suis réveillée en mourant d'envie d'avoir une montgolfière. Pas d'aller faire un tour en ballon avec des inconnus qui nous auraient matés et filmés comme deux bêtes curieuses, non, une personnelle", confesse-t-elle.
Ni une ni deux, l'ex-bimbo et son chéri Thomas Vergara sont allés à la recherche d'un exemplaire cet engin volant : "Le vendeur nous a vus débarquer avec une grosse enveloppe de cash, 8 ou 10 000 euros. J'avais noté les prix, ayant trop hâte de repartir avec. (...) On a parlé pendant plus d'une heure, j'ai failli péter un plomb. Rien à faire. Le vendeur a refusé de nous la vendre. En France, tu ne peux pas t'offrir une montgolfière, franchement c'est triste." Une issue "triste" pour Nabilla, certes, mais à la fois parfaitement compréhensible. En effet, comment imaginer qu'on autorise n'importe qui à faire voler une montgolfière, sans préparation ni permis !
Nabilla est finalement repartie bredouille mais elle a néanmoins eu la chance de réaliser un baptême de l'air qu'elle a trouvé... "nul". La raison ? La montgolfière n'était pas privée, tout simplement. "Oui, j'avoue, je faisais des caprices un peu niais. Une maladie courante aux débuts de la notoriété", conclut-elle, consciente de son comportement.