Jeudi 18 décembre, la star de télé-réalité Nabilla a été remise en liberté après cinq semaines de détention à la maison d'arrêt de Versailles. Mise en examen pour "tentative de meurtre et violences aggravées", accusée d'avoir poignardé son petit ami Thomas Vergara au thorax dans la nuit du 6 au 7 novembre et de "violence volontaire aggravée sur concubin avec arme" (relativement à une précédente altercation datant du 8 août dernier), Nabilla était détenue depuis le 9 novembre.
Placée sous contrôle judiciaire depuis sa sortie, la chroniqueuse de Touche pas à mon poste s'était alors vu notifier une série de mesures qu'elle doit respecter scrupuleusement : interdiction de quitter le territoire, de porter une arme, d'évoquer l'affaire dans la presse et, très important, de tenter d'entrer en contact avec son compagnon Thomas Vergara, même virtuellement au travers des réseaux sociaux.
Une dernière interdiction qu'elle a failli enfreindre samedi 20 décembre au soir en publiant un cliché d'elle et Thomas, très amoureux, en train de s'embrasser. S'il ne s'agit pas à proprement parler d'une prise de contact, ce cliché - qui n'est resté en ligne que quelques minutes mais qui a tout de même eu le temps d'engranger des milliers de likes ! - interroge... S'agissait-il d'une fausse manipulation ? A-t-elle voulu faire savoir à Thomas qu'elle l'aimait toujours ? Difficile de le savoir...
Une chose est sûre, Thomas a déjà fait savoir qu'il ne souhait pas la rencontrer, et Tarek Benattia - le petit frère de Nabilla et ancien très bon ami de Thomas - a fait savoir à de nombreuses reprises qu'il ne souhaitait pas que sa soeur rétablisse le contact avec son petit ami. Une situation qui pourrait s'avérer très douloureuse pour l'ancienne chroniqueuse, son ancienne codétenue la disant encore amoureuse... et surtout dangereuse pour sa liberté si jamais elle essaie de contacter son Thomas !
Rappelons que Nabilla, toujours dans l'attente d'un éventuel procès, reste présumée innocente des faits qui lui sont reprochés jusqu'à la clôture définitive du dossier pénal.