Cette saison, qui sera sa dernière, Natacha Polony a affiché plusieurs fois son sex-appeal dans On n'est pas couché sur France 2. Samedi 31 mai, la polémiste a fait une nouvelle apparition qui a marqué les téléspectateurs. Et pour cause, elle arborait un look masculin qui mettait en avant son joli décolleté.
La journaliste, devenue maman pour la troisième fois en août dernier, assume de plus en plus ses goûts en matière de mode. A Cannes, elle avait notamment fait sensation en foulant le tapis rouge avec des créations signées Karl Lagerfeld. Si la rouquine ne se défait plus de son style quelque peu masculin, elle n'oublie pas pour autant d'être féminine. Ainsi, aux côtés de Laurent Ruquier et Aymeric Caron, Natacha Polony, habillée de noir, dévoilait hier soir ses épaules mais aussi son joli décolleté.
"Natacha @NPolony, total respect! Une telle intelligence et aussi une telle beauté, ça va nous manquer. :-( Snif!" a posté @ntrjack sur Twitter ou encore @SupInfrequentab : "Je kiffe physiquement : Natacha Polony ...physiquement plus que pour l'intellect..."
En début d'émission, lors du fameux "Flop ten", le présentateur de l'émission n'a pas hésité à se moquer gentiment du physique de ses collaborateurs. S'inspirant de la pochette d'album du nouvel opus de Mariah Carey, Laurent Ruquier a décidé de montrer les différences physiques qui existent entre les photos posées de ses chroniqueurs et leurs têtes lors de l'enregistrement de l'émission. "Natacha, regardez comme vous êtes belle", a-t-il lancé en dévoilant un joli cliché de la journaliste qui prenait la pose pour France 2, "il y a deux ou trois ans". "Je ne reconnais rien mais la nana qui est là est très bien", a lâché Polony avant de voir le second cliché un peu moins flatteur.
Absente du programme à la rentrée, selon nos informations exclusives, c'est la talentueuse Léa Salamé qui a été choisie par la production de Tout sur l'écran, et validée par France 2, pour remplacer Natacha Polony et ainsi faire équipe avec Aymeric Caron, qui devrait rester à l'antenne l'année prochaine.
Sarah Rahimipour