C'est souvent quand on s'y attend le moins que l'amour nous tombe dessus. Ce n'est pas Olivia Newton-John qui dirait le contraire. L'inoubliable interprète de Sandy dans le film culte Grease a rencontré l'âme soeur à 59 ans.
L'actrice aujourd'hui âgée de 68 ans s'est confiée au magazine People sur son heureuse idylle, quelques années après que son précédent mari Patrick McDermott a mystérieusement disparu. Un épisode "traumatisant" pour la star australienne, d'autant plus que son étrange disparition n'a jamais été tirée au clair. Certains affirment en effet que l'homme déclaré mort serait en fait bien vivant, au Mexique.
Olivia a heureusement pu compter sur le soutien de son amoureux John Easterling pour remonter la pente. "Le plus dur, c'est de ne pas savoir, mais j'ai de la chance d'avoir un merveilleux mari qui est aimant et formidable. Je dis toujours à mes amis qu'il n'est jamais trop tard pour trouver l'amour de sa vie. J'ai rencontré le mien alors que j'allais sur mes 60 ans", a-t-elle récemment déclaré au magazine américain.
Le couple s'est rencontré lors d'un séjour en Amazonie courant 2008 et s'est marié dans la foulée lors d'une cérémonie privée. "On s'est fréquenté quelque temps mais je ne m'attendais pas à tomber amoureuse et de lui, puis finalement... Il est super intelligent et plein de compassion. Il dit oui à tout, il dit oui à la vie", a-t-elle ajouté. Un soutien de taille pour la blonde qui a longtemps lutté contre le cancer.
Forte de cet amour, Olivia Newton-John a su faire face à la maladie et s'est aussi réfugiée dans la musique pour panser ses plaies, les siennes ou celles de ses proches puisqu'elle a perdu sa soeur Rona, emportée par un cancer du sein, il y a trois ans. "La musique m'a toujours beaucoup aidée, elle ouvre des portes aux gens pour communiquer ce qui est nécessaire pour guérir", a-t-elle précisé. La passion de son mari l'aide aussi beaucoup : "Il est passionné par la botanique et soigne les gens avec les plantes. On le surnomme Amazon John, il est formidable." On veut bien la croire.
Coline Chavaroche