Olivia Newton-John n'en finit plus de s'inquiéter pour sa fille, Chloe Lattanzi. Trois ans après son combat contre l'alcool, la cocaïne et les troubles alimentaires, la jolie trentenaire serait désormais accro au bistouri !
Selon les informations du tabloïd The Sun, celle qui a incarné l'inoubliable Sandy Olsen dans le cultissime Grease serait folle d'inquiétude pour sa fille unique, née de son précédent mariage avec l'acteur Matt Lattanzi, qui souffrirait de dysmorphie corporelle et aurait déjà dépensé une fortune en chirurgie esthétique pour venir à bout de ses complexes.
"Chloe est complètement obsédée, elle veut absolument avoir un corps de Barbie et elle n'est jamais assez mince. Elle a toujours besoin d'en faire plus. Elle a fait des injections, du Botox, elle s'est fait refaire le nez et posé des implants mammaires", rapporte un informateur du tabloïd anglais qui assure qu'elle s'est aussi fait retirer une côte pour paraître plus mince. Coût total : 415 000 dollars ! "Bien sûr, Chloe assure qu'elle n'a rien retouché mais les rumeurs vont bon train. La différence est bien trop flagrante, il suffit de regarder sa taille pour voir que quelque chose a changé", ajoute la même source.
Sur les réseaux sociaux où elle reçoit de nombreuses critiques, Chloe Lattanzi assure être une femme "sexy et bien dans sa peau". Elle y poste régulièrement des photos d'elle en maillot et en petite tenue, mettant en avant sa taille effectivement très fine et son visage qui ne semble plus si naturel que ça. Si aujourd'hui, elle assure "être libre et s'assumer", ça n'a pas toujours été le cas. L'année dernière, elle a raconté son combat contre l'anorexie, l'alcoolisme et la dépendance à la cocaïne lors d'une interview pour FOX411, assurant que son fiancé James Driskill avait largement contribué à sa guérison.
"Je lui dois beaucoup. Je suis complètement guérie et en parfaite santé. La preuve, j'ai plein de graisse sur le corps", avait-elle alors assuré. Pour en finir avec ses nombreux problèmes, elle avait passé sept mois dans un centre spécialisé et avait suivi une thérapie à raison de cinq heures par jour pour. De quoi l'aider à dépasser ses addictions... à moins qu'elle n'ait fait que les reporter.
Coline Chavaroche
Coline Chavaroche