Ophélie Winter, que Nikos Aliagas, Florian Gazan, et Mustapha el Atrassi ont réveillé le matin de la journée de la femme, sera sur notre petit écran le 8 avril prochain.
A 20h45, elle sera Isabelle Ballancourt, l'héroïne de R.I.S, police scientifique. Cette femme active, dont la fille disparaît, va nous entraîner avec elle dans sa descente aux enfers. "Cet épisode décrit l'effondrement d'une battante qui, au fur et à mesure des heures, s'écroule pour devenir une femme vulnérable", a confié la chanteuse au site Tf1pro.com.
Celle qui s'est inspirée de sa mère (Catherine Fefeu) et a été aidée par un coach pour préparer son personnage, a dévoilé que le tournage avait été très difficile. "Le réalisateur (François Guérin, ndlr) a souhaité m'isoler du reste de l'équipe pour mieux me plonger dans mon rôle, alors que j'ai toujours tendance à plaisanter sur les plateaux. Je déjeunais volontairement seule, ne parlais à personne, réduisais mon temps de sommeil. J'étais poussée dans mes derniers retranchements. Certains jours, je n'avais pas de maquillage, j'étais même enlaidie parfois. J'ai passé deux semaines à pleurer devant et hors caméra. C'était éprouvant mais cela m'a fait du bien, comme une thérapie", a expliqué Ophélie.
Alors que l'épisode aborde également le thème de l'anorexie, la jolie blonde de 36 ans s'est positionnée : "C'est dramatique. Il serait temps d'arrêter les défilés de mannequins squelettiques, les retouches photo - c'est d'ailleurs ce que le mensuel Marie Claire a fait avec talent dans son dernier numéro, pas de retouches photo. Il faut expliquer aux jeunes filles que les images dans les magazines sont virtuelles. Il est important de montrer dans l'épisode que l'on peut mourir par ignorance, en pensant que de se faire vomir pour rester mince n'est pas dangereux."
Nous avons hâte de découvrir Ophélie dans un nouveau rôle, qui, apparemment, lui a offert une belle performance de comédienne.