Pascal Soetens a perdu le sourire ! Depuis ses révélations sur son salaire précaire, l'ancien grand frère est l'objet de nombreuses rumeurs. Certains médias ont même comparé sa situation à celle d'Ophélie Winter, laquelle se trouve actuellement en détresse émotionnelle. Fortement agacé, Pascal Soetens a décidé de rétablir sa vérité à travers une vidéo postée sur son compte Instagram.
"Ma vidéo, c'est une vidéo coup de gueule", annonce-t-il d'entrée. "Je m'adresse à tous ceux qui écrivent de la merde dans des journaux people. Apparemment, vous me comparez à Ophélie Winter, quelqu'un que j'apprécie énormément. Déjà, on ne me compare avec personne. D'après vos informations, donc apparemment vous êtes mon banquier, vous dites que je suis en difficulté financière. Il faudra m'expliquer comment", se fâche-t-il.
Pascal Soetens poursuit en faisant le point sur ses finances et se veut rassurant. "Déjà, je ne suis pas ruiné, tout va bien. Je bosse, je viens de tourner dans un film donc s'il vous plaît, arrêtez de raconter de la merde !" Et sans donner plus d'explications, il s'excuse auprès de personnes vraisemblablement triées sur le volet en légende de sa publication : "Coup de gueule de la journée, par avance désolé pour mes mots TPMP, Cyril Hanouna, Non Stop People, Jordan De Luxe, Pierre-Jean Chalençon, Ahmed Sylla."
Pourtant, c'est bel et bien Pascal Soetens qui s'est empêtré dans cette polémique. Lors de son passage sur Non Stop People, il assurait ne toucher aujourd'hui que "441 euros de chômage" et se disait contraint d'accepter les petits boulots pour s'en sortir. Il lançait même un appel du pied à Cyril Hanouna, espérant ainsi être recruté en tant que chroniqueur dans son émission Touche pas à mon poste...
D'ailleurs, son coup de gueule a du mal à passer auprès des ses abonnés. "C'est toi qui as créé cette polémique. Désolé Pascal mais viens pas te plaindre", "C'est peut-être parce que vous aviez dit être au RSA", "Fallait pas aller dire que tu gagnais 400 euros par mois. Faut assumer maintenant", commentent-ils, perplexes.