Après l'élimination de Denis et Jean-Dominique (diffusée le mercredi 21 mai), les candidats de Pékin Express 2014 et l'équipe de production ont dû faire face à un problème inattendu : l'arrestation de 49 personnes lors de l'étape suivante au Nagaland. Si comme l'a confié Stéphane Rotenberg il y a quelques jours, les événements n'ont pas été filmés histoire de ne pas aggraver la situation, M6 possède tout de même quelques images qu'elle vient de dévoiler !
Dans la bande-annonce de l'émission, qui sera diffusée le 28 mai prochain, on peut en effet découvrir l'ambiance particulièrement pesante qui règne à ce moment-là. Il faut dire que comme l'avait déjà indiqué l'animateur et directeur de course, des hommes armés, que l'on peut voir sur les images, surveillaient leur résidence.
Sur ces images chocs, c'est un animateur dépité que l'on voit annoncer la mauvaise nouvelle aux candidats : "On est bloqués. Il y a des hommes armés un peu partout. Pour faire simple, on est soupçonnés d'espionnage [à cause de l'utilisation par l'équipe de téléphones satellites dans cette zone sensible du pays, NDLR]." Des propos qui ont suscité la surprise chez les globe-trotteurs qui ont ensuite appris, toujours de la bouche du célèbre présentateur d'M6, que la course était interrompue pour un temps indéterminé : "Pour l'instant, les autorités refusent de nous laisser partir. Ça peut durer une heure, deux jours, trois jours... personne ne sait."
Si le ton de Stéphane Rotenberg se veut plutôt calme, ses explications ne sont pas franchement rassurantes : "La situation peut dégénérer pour un rien. (...) Courage, soyez patients, on est pour l'instant assignés à résidence. Donc voilà, soyez prêts à repartir mais pour l'instant nous sommes bloqués."
Comme on le voit sur les images toujours, l'attente a ensuite été interminable pour les candidats et l'équipe. "Il y a le stress de ne pas savoir ce qu'il se passe", témoigne Aurélie. Et Frédérique d'ajouter : "Je n'en pouvais plus de rester sur place."
Pour rappel, assignées quelques jours dans leur hôtel, la grande majorité des personnes retenues ont ensuite rapidement pu poursuivre l'aventure au Sri Lanka. Les trois dernières, libérées sous caution mais qui avaient l'interdiction de quitter le territoire, ont finalement été libérées en avril dernier.
Sarah Rahimipour