![Un staff royal sur le banc de touche ! Le roi Philippe de Belgique et la reine Mathilde ainsi que leurs quatre enfants ont rendu visite aux Diables rouges, l'équipe nationale de football, au Stade Roi Baudouin le 8 juin 2014 pour leur dernier entraînement avant de s'envoler pour la Coupe du monde au Brésil.](https://static1.purepeople.com/articles/4/14/27/94/@/1501003-le-roi-philippe-de-belgique-la-reine-580x0-2.jpg)
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Heureusement pour eux que les princes Gabriel et Emmanuel de Belgique ont recouvré le plein usage de leurs jambes, débarrassés des plâtres qui les encombraient en début d'année ! Sans quoi les deux fils du roi Philippe et de la reine Mathilde de Belgique seraient passés à côté de moments très privilégiés, condamnés au banc de touche...
Fièvre de la Coupe du monde oblige, le couple royal belge a voulu dimanche 8 juin 2014 témoigner tout son soutien à l'équipe nationale de football avant son départ pour le Brésil. Les Diables rouges, surnom acquis par les joueurs de la sélection belge, entameront leur campagne mondiale le 17 juin face à l'Algérie. Pour leur dernier entraînement, ils ont donc reçu au Stade Roi Baudouin la visite et les encouragements du souverain, de son épouse, mais aussi de leurs enfants, lesquels ont même pu taper la balle avec quelques-unes des stars de l'équipe de Belgique, à l'instar du capitaine et défenseur des Citizen de Manchester City Vincent Kompany et du milieu de terrain du Zénith Saint-Pétersbourg Axel Witsel, bien reconnaissable à sa coupe de cheveux.
Si la jeune princesse Eléonore a quelque peu boudé la séance d'entraînement et est restée avec sa maman, ses grands frères Gabriel (10 ans) et Emmanuel (8 ans), férus de sport comme leur papa et pas timides, ne se sont pas fait prier. Même la princesse héritière Elisabeth, 12 ans, a saisi l'opportunité de se passer le ballon avec Axel Witsel ! Tout ce petit monde s'est également prêté à quelques photos de groupe avant que les footballeurs ne partent pour l'Amérique du Sud en emportant avec eux les espoirs de la nation.
Et l'esprit d'équipe, alors ?
L'actualité footballistique devrait largement occuper les esprits dans les prochaines semaines, mais en attendant, c'est surtout l'état de la famille royale qui focalise l'attention : la chaîne RTL-TVI diffuse ce lundi 9 juin la première partie d'un entretien exclusif avec le roi Albert II à l'occasion de son 80e anniversaire, qui a abdiqué l'été dernier au profit de son fils aîné, sur fonds de violentes tensions familiales. Quasi simultanément à l'annonce, la semaine dernière, de la diffusion de ce document, réalisé sans consultation du roi Philippe, le palais révélait dans un communiqué la démission du nouveau chef de la Maison d'Albert, Peter Degraer, nommé conseiller à la Maison militaire du Roi à partir de la rentrée de septembre. Peter Degraer avait été imposé en remplacement de Vincent Pardoen, que le nouveau souverain avait limogé après qu'il avait publié de sa propre initiative et sans accord du palais un communiqué de l'ancien couple royal concernant l'hospitalisation du prince Laurent. Il est apparu récemment que le roi Albert II continuerait de travailler avec son ancien lieutenant, raison pour laquelle Peter Degraer aurait présenté sa démission. Une ambiance on ne peut plus délétère...
Quoi qu'il en soit, l'ensemble de la famille royale s'est rassemblée samedi pour fêter les 80 ans du patriarche au musée BELvue, à Bruxelles. Comme si de rien n'était. La teneur de ses confidences à RTL-TVI, mais aussi à la chaîne néerlandaise (VTM), rencontrée également sans en informer le palais, risque pourtant de créer une nouvelle onde de choc.
Dans de premiers extraits révélés par la presse belge, l'ancien souverain déclare notamment : "Quand je vois nos enfants, ils sont beaucoup plus près de leurs enfants que nous ne l'étions des nôtres. (...) Donc ça, c'était déjà une partie du compliqué. Et puis, en plus, je pense que la moindre petite mésentente, la moindre petite chose est tout de suite connue, mise sur la place publique. C'est aussi une situation insupportable. (...) Des parents idéals, ça n'existe pas. Le métier de parents ne s'apprend pas. On fait ce qu'on peut avec ce qu'on a." Ça promet...