La rentrée 2010 de la série à succès Plus Belle La Vie, réserve bien des surprises aux passionnés. Le magazine Télé 7 jours a souhaité en savoir plus sur les changements à venir, et vous n'allez pas être déçus !
Pour la saison 7 du programme (diffusé depuis le 30 août 2004), un nouveau décor est en train d'être construit (une extension de 800 mètres carré est en route), et vous découvrirez de nouveaux lieux, tels que le palais de justice (les avocats et juges seront au coeur des prochaines intrigues), ou la rédaction de La Dépêche marseillaise, où Ninon, alias Aurélie Vaneck, travaille en tant que journaliste. "Ninon nous permet d'aborder le thème de l'omniprésence de l'information dans notre société. Grâce à ses aventures, nous raconterons les coulisses d'une profession", confie Hubert Besson, le producteur.
Du côté de certaines affaires où survient le "surnaturel" (un parti pris que beaucoup de téléspectateurs réfutent), il explique : "Cette part de paranormal fait partie de l'ADN de la série. PBLV ne reflète pas la réalité de la vie. Des téléspectateurs viennent à Marseille pour visiter la place du Mistral. Elle n'existe pas ! Je reconnais que nous devons être attentifs et savoir doser entre le suspense, les histoires d'amour, les faits de société et le surnaturel."
A propos du prochain prime time, il sera tourné en Belgique, à Bruxelles. Le Parlement européen servira de décor à l'histoire, dont la réalisation débutera mi-octobre. La diffusion est prévue avant la fin de l'année.
Par ailleurs, interrogé par Europe 1 aujourd'hui, 2 septembre 2010, Hubert Besson est revenu sur le potentiel déplacement de la série de France 3 à France 2 : "C'est de l'intox" ! Ouf.
Pour conclure avec une petite anecdote estivale, notez que LaProvence.com a révélé que les acteurs avaient beaucoup souffert de la chaleur ces derniers jours pour cause d'une panne de climatisation. Serge Ladron de Guevara, directeur de production Telfrance Serie, a expliqué : "Nous avons dû nous-même installer une climatisation provisoire dans le local de post-production, celui qui a le plus souffert".
C'est là-bas que ce problème est devenu... très chaud ! "On se croyait dans un film de guerre, surveillant la température qui ne cessait de monter. Celles des disques durs ne doit pas dépasser 35º, on est allé jusqu'à 57º. Dans ce local où on doit être autour de 15-16º, on était à 37º".
Découvrez une vidéo des Mistraliens submergés par la chaleur juste ici !