Charles Berling© Angeli
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Bientôt à l'affiche du film Insoupçonnable et de Krach, nommé à la tête de la direction du Nouveau Théâtre de Toulon avec son frère Philippe, Charles Berling a un agenda relativement chargé. Cela n'empêche pas le comédien de prendre le temps de se dévoiler pour le magazine Questions de Femmes. Extraits.
Tel un héros de cinéma, Charles Berling est un passionné en amour mais son attitude a changé avec le temps, l'expérience et surtout les femmes qu'il a fréquentées : "A une époque, j'étais un séducteur compulsif." Amoureux, il est prêt à tout pour l'autre : "Jusqu'à la mort, bien sûr. Pas celle de quelqu'un mais la mienne. Je n'ai pas vraiment l'âme d'une meurtrier." Toutefois, il est apaisé par sa relation avec Virginie Couperie, ex de Julien Clerc : "Je n'ai jamais vécu un amour comme ça." Admiratif des femmes, il fait l'éloge de celles qu'il aime : "Je ne pourrais pas comprendre le monde s'il n'y avait pas les femmes. J'ai été élevé, avec trois soeurs et deux frères, par une féministe avant l'heure."
Les sujets les plus délicats sont abordés lors de cet entretien comme le décès de son père, médecin, en mars dernier. Il explique par quelles étapes il est passé pour surmonter cette épreuve : "D'abord, on devient fou. Ensuite, on essaie de comprendre pourquoi. [...] Il n'y a pas d'âge pour être orphelin. Même à 50 ans, c'est d'une violence inouïe, c'est une attache du début de votre vie qui disparaît."
Son émotion est grande également quand il parle de la naissance son fils, Emile, devenu aujourd'hui acteur et que l'on pourra retrouver dans Orly avec Natacha Régnier : "Je ne pouvais plus dire un mot. L'infirmière trouvait cela normal, alors que je vivais une des minutes les plus intenses de ma vie." Il regrette néanmoins ne pas avoir été le père qu'il aurait voulu être quand son fils était petit : "Je n'étais sûrement pas assez là, pas assez joueur."
Charles Berling a ses faces cachées, comme tous, mais il ne s'estime pas si différent de l'image publique qu'il présente : "Je ne suis pas Lady Gaga, je n'ai pas besoin d'en faire des tonnes."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Questions de Femmes du mois d'août.
Tel un héros de cinéma, Charles Berling est un passionné en amour mais son attitude a changé avec le temps, l'expérience et surtout les femmes qu'il a fréquentées : "A une époque, j'étais un séducteur compulsif." Amoureux, il est prêt à tout pour l'autre : "Jusqu'à la mort, bien sûr. Pas celle de quelqu'un mais la mienne. Je n'ai pas vraiment l'âme d'une meurtrier." Toutefois, il est apaisé par sa relation avec Virginie Couperie, ex de Julien Clerc : "Je n'ai jamais vécu un amour comme ça." Admiratif des femmes, il fait l'éloge de celles qu'il aime : "Je ne pourrais pas comprendre le monde s'il n'y avait pas les femmes. J'ai été élevé, avec trois soeurs et deux frères, par une féministe avant l'heure."
Les sujets les plus délicats sont abordés lors de cet entretien comme le décès de son père, médecin, en mars dernier. Il explique par quelles étapes il est passé pour surmonter cette épreuve : "D'abord, on devient fou. Ensuite, on essaie de comprendre pourquoi. [...] Il n'y a pas d'âge pour être orphelin. Même à 50 ans, c'est d'une violence inouïe, c'est une attache du début de votre vie qui disparaît."
Son émotion est grande également quand il parle de la naissance son fils, Emile, devenu aujourd'hui acteur et que l'on pourra retrouver dans Orly avec Natacha Régnier : "Je ne pouvais plus dire un mot. L'infirmière trouvait cela normal, alors que je vivais une des minutes les plus intenses de ma vie." Il regrette néanmoins ne pas avoir été le père qu'il aurait voulu être quand son fils était petit : "Je n'étais sûrement pas assez là, pas assez joueur."
Charles Berling a ses faces cachées, comme tous, mais il ne s'estime pas si différent de l'image publique qu'il présente : "Je ne suis pas Lady Gaga, je n'ai pas besoin d'en faire des tonnes."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Questions de Femmes du mois d'août.