Robert Redford et sa femme Sibylle Szaggars se promènent dans les rues de Paris, le 28 avril 2013 et notamment le quartier de Montmartre© BestImage
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Robert Redford a été aperçu avec sa femme, l'artiste allemande Sibylle Szaggars qu'il fréquente depuis 1996 et qu'il a épousée en secret en 2009 à Hamburg. La star américaine âgée de 76 ans s'est promenée dans les rues de Paris le 28 avril, passant du temps dans le quartier de Montmartre où il a déjeuné avec sa bien-aimée. La vue de la basilique du Sacré-Coeur a éveillé de nombreux souvenirs pour l'acteur et réalisateur, qui en parle dans le magazine Télérama, lui qui a passé un an et demi en Europe durant sa jeunesse.
"Je me suis inscrit à l'Ecole des beaux-arts, à Paris : je me disais que tout ce que j'aimais dans la vie avait débuté là... Mais on n'était plus dans les années 1920 ! Je suis donc parti au bout de quelques semaines pour une autre école, à Montparnasse. J'aimais énormément Paris, j'y apprenais l'art et la vie. J'habitais dans une communauté avec d'autres étudiants. On dormait dans des sacs de couchage, on partageait les fruits qu'on achetait," se souvient Robert Redford.
Un demi-siècle plus tard, l'Américain est à Paris pour défendre sa nouvelle réalisation Sous surveillance (The Company You Keep). Encore une fois, il aborde l'histoire américaine à travers des destins individuels : "Tous les films que j'ai réalisés parlent de l'Amérique. Mon pays me fascine." Dans son nouveau thriller avec Susan Sarandon et Shia LaBeouf, il s'intéresse à un groupe de militants radicaux de la fin des années 1960, Weather Underground, qui a revendiqué une vague d'attentats aux Etats-Unis pour protester contre la guerre du Vietnam. Quarante ans plus tard, l'arrestation de Sharon Solarz, l'une des activistes, les remet cette affaire sur le devant de la scène.
A la différence de Sous surveillance, sa précédente oeuvre qui portait sur l'époque de Lincoln, La Conspiration, n'a pas été distribuée dans les salles : "Il n'a simplement pas pu accéder aux salles de cinéma ! Le film de Steven Spielberg a bénéficié d'une attention énorme, car il était soutenu par Disney, qui a mis des millions dans la promotion. [...] Voilà pourquoi il faut se battre pour le cinéma indépendant." Militant, homme engagé et figure du Festival de Sundance, il est souvent décrit comme un homme solitaire, mais il tient à préciser les choses : "Je suis marié, j'ai une famille et... j'aime les femmes ! Je peux être très sociable."
Robert Redford est attendu de pied ferme sur le plateau de Laurent Delahousse et son journal télévisé de 20h sur France 2 ce 28 avril. La star fait également partie de la liste des invités du Festival de Cannes, puisque le film All Is Lost de J. C. Chandor (Margin Call) dans lequel il joue sera présenté hors compétition.
"Sous surveillance", en salles le 8 mai
Retrouvez l'interview en intégralité dans le magazine "Télérama" du 24 avril
"Je me suis inscrit à l'Ecole des beaux-arts, à Paris : je me disais que tout ce que j'aimais dans la vie avait débuté là... Mais on n'était plus dans les années 1920 ! Je suis donc parti au bout de quelques semaines pour une autre école, à Montparnasse. J'aimais énormément Paris, j'y apprenais l'art et la vie. J'habitais dans une communauté avec d'autres étudiants. On dormait dans des sacs de couchage, on partageait les fruits qu'on achetait," se souvient Robert Redford.
Un demi-siècle plus tard, l'Américain est à Paris pour défendre sa nouvelle réalisation Sous surveillance (The Company You Keep). Encore une fois, il aborde l'histoire américaine à travers des destins individuels : "Tous les films que j'ai réalisés parlent de l'Amérique. Mon pays me fascine." Dans son nouveau thriller avec Susan Sarandon et Shia LaBeouf, il s'intéresse à un groupe de militants radicaux de la fin des années 1960, Weather Underground, qui a revendiqué une vague d'attentats aux Etats-Unis pour protester contre la guerre du Vietnam. Quarante ans plus tard, l'arrestation de Sharon Solarz, l'une des activistes, les remet cette affaire sur le devant de la scène.
A la différence de Sous surveillance, sa précédente oeuvre qui portait sur l'époque de Lincoln, La Conspiration, n'a pas été distribuée dans les salles : "Il n'a simplement pas pu accéder aux salles de cinéma ! Le film de Steven Spielberg a bénéficié d'une attention énorme, car il était soutenu par Disney, qui a mis des millions dans la promotion. [...] Voilà pourquoi il faut se battre pour le cinéma indépendant." Militant, homme engagé et figure du Festival de Sundance, il est souvent décrit comme un homme solitaire, mais il tient à préciser les choses : "Je suis marié, j'ai une famille et... j'aime les femmes ! Je peux être très sociable."
Robert Redford est attendu de pied ferme sur le plateau de Laurent Delahousse et son journal télévisé de 20h sur France 2 ce 28 avril. La star fait également partie de la liste des invités du Festival de Cannes, puisque le film All Is Lost de J. C. Chandor (Margin Call) dans lequel il joue sera présenté hors compétition.
"Sous surveillance", en salles le 8 mai
Retrouvez l'interview en intégralité dans le magazine "Télérama" du 24 avril