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Ce samedi 23 novembre, Roselyne Bachelot retrouvait son ami de trente ans, l'ex-Premier Ministre François Fillon, pour un moment particulier dans sa carrière. L'ex-Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative du gouvernement Fillon était décorée de la Légion d'honneur, une cérémonie solennelle qui s'est déroulée sous le crépitements des flashes de la presse locale, et du Journal du dimanche qui consacre d'ailleurs une demi-page à cet événement dans son cahier politique.
François Fillon a salué la femme politique, aujourd'hui reconvertie en chroniqueuse dans l'émission quotidienne Le Grand 8 sur D8, et sur i-Télé tous les dimanches, se souvenant également de ce jour d'août 2008 où, en Conseil des Ministres, il avait vu débarquer la politicienne avec une paire de Crocs aux pieds... Oui, ces fameuses chaussures en plastique. Fillon se souvient également de cette fois où il fait passer de main en main un courrier à Roselyne Bachelot dans lequel il l'appelait "Bianca Castafiore". Référence audacieuse à sa ressemblance physique et vocale avec la cantatrice imaginée par Hergé dans les albums de Tintin, et son goût prononcé pour la musique classique.
Un amour qui l'a même poussée à publier, le 13 novembre dernier, le livre Verdi amoureux (éditions Flammarion), accompagné d'un CD audio, à l'occasion du bicentenaire de la naissance du compositeur italien. Actuellement en pleine promo de cet ouvrage, qu'elle dédicaçait la semaine passée dans les luxueux salons du sublime hôtel parisien Éléphant Paname, Roselyne Bachelot, la soixantaine rayonnante, déclarait au NouvelObs.fr le mois dernier : "Mélodiste, à n'en pas douter, (Verdi est un) orchestrateur extraordinaire. (...) Ce n'est pas Gabriel Fauré ! Il vous prend par les couilles !"
Quelques instants après avoir été décorée de sa Légion d'honneur ce samedi, l'ex-politicienne, abordée par nos confrères du JDD dans les couloirs de la Collégiale Saint-Martin, à Angers, n'a pas hésité à entonner quelques notes de Verdi (voir vidéo)... Jamais une femme politique n'aura semblé si sympathique.
Joachim Ohnona
François Fillon a salué la femme politique, aujourd'hui reconvertie en chroniqueuse dans l'émission quotidienne Le Grand 8 sur D8, et sur i-Télé tous les dimanches, se souvenant également de ce jour d'août 2008 où, en Conseil des Ministres, il avait vu débarquer la politicienne avec une paire de Crocs aux pieds... Oui, ces fameuses chaussures en plastique. Fillon se souvient également de cette fois où il fait passer de main en main un courrier à Roselyne Bachelot dans lequel il l'appelait "Bianca Castafiore". Référence audacieuse à sa ressemblance physique et vocale avec la cantatrice imaginée par Hergé dans les albums de Tintin, et son goût prononcé pour la musique classique.
Un amour qui l'a même poussée à publier, le 13 novembre dernier, le livre Verdi amoureux (éditions Flammarion), accompagné d'un CD audio, à l'occasion du bicentenaire de la naissance du compositeur italien. Actuellement en pleine promo de cet ouvrage, qu'elle dédicaçait la semaine passée dans les luxueux salons du sublime hôtel parisien Éléphant Paname, Roselyne Bachelot, la soixantaine rayonnante, déclarait au NouvelObs.fr le mois dernier : "Mélodiste, à n'en pas douter, (Verdi est un) orchestrateur extraordinaire. (...) Ce n'est pas Gabriel Fauré ! Il vous prend par les couilles !"
Quelques instants après avoir été décorée de sa Légion d'honneur ce samedi, l'ex-politicienne, abordée par nos confrères du JDD dans les couloirs de la Collégiale Saint-Martin, à Angers, n'a pas hésité à entonner quelques notes de Verdi (voir vidéo)... Jamais une femme politique n'aura semblé si sympathique.
Joachim Ohnona