![Shakira et Antonio de la Rua à Punta del Este en 2008.](https://static1.purepeople.com/articles/1/12/60/41/@/1204524-la-chanteuse-shakira-son-ami-l-homme-580x0-2.jpg)
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Shakira pensait avoir gagné la guerre judiciaire qui l'opposait à son ex Antonio de la Rúa après le rejet final de toutes ses plaintes... Mais elle risque bien de déchanter. Le fils de l'ancien président argentin Fernando de la Rúa, qui réclame toujours 100 millions de dollars pour avoir contribué à faire de la chanteuse une star, est en effet bien décidé à continuer son combat devant les tribunaux. C'est ce qu'il a annoncé lors d'une interview à W Radio, cité par le magazine Hola...
Malgré le rejet de sa plainte par la Cour supérieur de Los Angeles la semaine dernière, Antonio de la Rúa reste déterminé et souhaite porter l'affaire dans une ville appropriée, après avoir également échoué devant celui de New York et de Genève. "Ce n'est que le début, a averti le fils de l'ancien président argentin Fernando de la Rúa. Le juge de Los Angeles n'a pas dit que je n'avais pas de droit sur les actifs de la chanteuse, mais simplement qu'il préférait que ce soit une autre juridiction qu'il s'occupe de l'affaire car il s'agit de deux personnes qui ne résident pas dans cette ville et que c'est une Cour saturée par ce genre de cas", a-t-il précisé à W Radio.
Antonio de la Rúa assure ainsi qu'il tente avec Shakira de trouver un accord sur le lieu du procès. "Maintenant, je dois décider si j'accepte ou non ce que propose Shakira, qui considère les Bahamas ou la Colombie comme des lieux appropriés. Une fois que l'on aura choisi l'endroit où se tiendra le procès, c'est là que l'on va commencer à évaluer les mérites de chacun et pouvoir présenter nos preuves. Chacun devra démontrer sa vérité", promet-il. À voir si la chanteuse, heureuse maman d'un petit Milan depuis peu, n'en a pas marre des plaintes de son ex, elle qui s'était dit "reconnaissante" envers les tribunaux d'avoir rejeté ces "poursuites infondées"...
Sur l'affaire en soit, Antonio de la Rúa reconnaît ne pas avoir signé de contrat avec Shakira pour déterminer d'un pourcentage sur les bénéfices liées à son activité de chanteuse. Ce qui ne l'empêche pas de réclamer beaucoup d'argent aujourd'hui. "On avait juste un accord oral qui disait qu'on devait se partager les bénéfices : Shakira un pourcentage bien plus important car c'était elle, l'artiste, et moi un plus petit pour construire la plate-forme économique. On a toujours redistribué les bénéfices chaque année", raconte-t-il. Le problème est intervenu selon lui à partir du moment où Shakira a rencontré son nouveau compagnon Gerard Piqué, en 2010, qui lui a conseillé de nouveaux avocats, lesquels ont voulu fermer leur société montée en 2004.
"Depuis, plus jamais je n'ai pu parler avec elle, je lui ai écrit plusieurs fois pour qu'on se réunisse mais bon... Ce qui est logique, c'est que quand on société met fin à ses activités, les associés s'assoient autour d'une table et règlent les problèmes. Je ne remets pas en cause sa volonté d'en finir avec ça, parce qu'elle en a le droit (...) mais ce n'est pas logique de ne pas avoir voulu dialoguer et trouver un accord", se plaint Antonio de la Rúa. Malgré cet interminable conflit financier, le fils de l'ancien président argentin Fernando de la Rúa assure n'avoir rien de personnel contre son ex. "Je la vois heureuse, et cela me rend heureux. Elle a réussi tout ce qu'elle voulait, notamment fonder une famille. Je ne souhaite que le meilleur à une personne avec laquelle j'ai vécu onze ans. Pour moi, c'est un bonheur de la voir heureuse, je suppose que pour elle c'est la même chose", explique-t-il. Lui-même a d'ailleurs brillamment refait sa vie. Il est ainsi devenu papa en mars dernier pour la première fois avec sa belle financée, Daniela Ramos, un mannequin colombien.