Jill Vandermeulen a annoncé une mauvaise nouvelle à sa communauté Instagram, le 17 janvier 2022. L'ancienne candidate de la Star Academy (saison 5, en 2005) a été hospitalisée et a expliqué pour quelle raison, en story.
"J'avais testé la blouse hôpital 2021. Me revoilà avec la collection 2022", ont pu lire les internautes en légende d'une photo de Jill sur son lit d'hôpital. De quoi inquiéter les personnes qui la suivent sur le réseau social. Ils ont ensuite appris que celle qui est maman de trois enfants (une fille et deux garçons) a, semble-t-il fait une nouvelle fausse couche. "Info importante. En cas de perte de votre grossesse, si la fausse couche n'est pas spontanée, vous pouvez (en Belgique) demander un curetage à votre gynécologue. Ici, l'option m'a de suite été proposée. Il s'agit certes d'une hospitalisation avec anesthésie générale, donc pas facile, mais une analyse de l'embryon pourra être faite afin d'obtenir des réponses. Pour vivre le deuil plus sereinement et surtout pour prendre des mesures médicales par la suite, c'est une option qui a des avantages. Si vous êtes un jour dans cette situation (ce que je ne souhaite à personne), discutez en directement avec votre médecin", a-t-elle écrit.
Un nouveau coup dur pour son compagnon Simon Gérard et elle qui ont déjà connu cette épreuve l'été dernier. En juillet dernier, Jill Vandermeulen avait en effet révélé qu'elle venait de perdre son bébé. Un drame qu'elle a découvert lors de sa deuxième échographie. C'est à ce moment-là qu'elle a découvert que son coeur ne battait plus. "Nue, les jambes écartées, une sonde dans le vagin, mon monde s'écroule autour de moi. Sous le choc, j'ai l'impression que les minutes durent une éternité et je ne dis mot. Et puis je craque, je panique, je fond en larmes toujours nue sur cette table avec ce satané masque sur ma bouche qui m'empêche de respirer entre chaque sanglot", avait-elle notamment expliqué.
Quatre mois plus tard, Jill Vandermeulen avait repris la parole sur le sujet pour mettre en avant l'après très difficile. Un après rythmé par un "stress intense" et des angoisses, entre les remarques qu'elle pouvait recevoir ou sa déception de voir chaque mois ses menstruations débarquer. "L'après est aussi pénible que le moment du drame, parce qu'il est constitué uniquement de doute et d'attente péniblement longue 3 semaines par mois !!! C'est très lourd pour le bien être émotionnel d'une personne. Il faut arrêter de mettre une pression supplémentaire dans les discours auprès des femmes qui sont dans cette attente. Arrêtez de dire qu'il faut être patientes, NOUS ne le sommes PAS ! C'est impossible quand il s'agit d'une envie aussi forte et aussi importante", précisait-elle notamment.