Thomas Hollande descend dans la rue pour soutenir des femmes menacées
Publié le 25 novembre 2016 à 13:37
Par Tom Spencer | Rédacteur
Fan des corgis, des iconiques Spice Girls, de la princesse Diana et adepte de tea time, Tom Spencer aime notamment relater la vie des membres de la couronne britannique mais n’est jamais contre un petit détour outre-Atlantique.
L'avocat compte bien faire son possible pour que ses clientes s'en sortent la tête haute...
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage© BestImage, Stéphane Lemouton
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo à Paris, le 24 novembre 2016.  © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
Thomas Hollande manifeste aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo devant le ministère de la Santé à Paris, le 24 novembre 2016. Le fils du président de la République, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 sur le point d'être licenciées sur les 303 employés. © Stéphane Lemouton/Bestimage
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Après avoir participé avec sa compagne à la soirée des GQ Awards le 23 novembre, Thomas Hollande avait rangé son smoking pour descendre dans la rue le lendemain. Le fils du président de la République François Hollande et de la la ministre de l'Écologie Ségolène Royal est allé soutenir des femmes menacées de licenciement.

Thomas Hollande a manifesté aux côtés des salariés du groupe pharmaceutique japonais Daiichi-Sankyo, devant le ministère de la Santé à Paris. Le fils du chef de l'État, avocat de profession, est chargé de défendre des visiteuses médicales qui font partie des 284 employés sur 303 sur le point d'être licenciés. Comme le souligne le journal Le Parisien, "le plan social prévoit le départ de l'ensemble des visiteurs médicaux et des 67 salariés du siège". Le groupe, qui anticipe une perte à venir de 15 millions d'euros, a justifié ce plan en raison d'une baisse d'activité drastique en lien avec le déremboursement, qui interviendra dès le 1er janvier 2017, de son médicament phare ainsi que du lancement finalement reporté d'un autre médicament.

Thomas Hollande se bat pour que ces licenciements soient mieux encadrés et que certains puissent bénéficier d'une pré-retraite, d'autres de formations ou encore la possibilité d'un congé de reclassement porté à 20 mois. "Ce congé, d'une durée variable, a pour objet de permettre au salarié de bénéficier d'actions de formation et de l'aide d'une cellule d'accompagnement des démarches de recherche d'emploi", explique le site de l'administration française.

Thomas Montet

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