Un an après avoir tenu le rôle de l'ennemi public numéro 1 dans la télé-réalité familiale True Tori, Dean McDermott - mari infidèle de Tori Spelling et père de ses quatre enfants -, a fait récemment savoir son intention ferme de quitter le show. Fatigué et lassé d'assumer le costume du grand méchant loup, l'acteur de 45 ans a en effet décidé de jeter l'éponge... une décision officialisée, mercredi 26 novembre, par sa célèbre épouse.
Invitée sur le plateau de Meredith Vieira, Tori Spelling a officialisé la chose, déclarant face à son hôte que Dean n'apparaîtrait plus au casting de True Tori, diffusée sur la chaîne américaine Lifetime. Sachant que son émission était essentiellement basée jusqu'ici sur ses rapports plus que tendus avec ce dernier, on peut se demander si l'actrice de 41 ans aura matière à concocter une troisième saison. Eh bien que l'on se rassure (ou pas), l'ex-star de Beverly Hills 90210 a déclaré qu'elle n'arrêterait pas pour autant en si bon chemin. "Le show s'appelle True Tori. J'ai beaucoup de choses encore à dire. J'ai quatre enfants, je suis une mère, je suis une femme et je veux continuer", a-t-elle livré à Meredith Vieira.
Bref, on n'a donc pas fini de voir Tori Spelling étaler sa vie privée. Difficile de savoir pour le moment s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise nouvelle, sachant que les deux premières saisons de True Tori l'ont montrée plus bas que terre, dans le personnage d'épouse trompée et bafouée ayant bien du mal à remonter la pente.
Dans son émission, l'actrice ouvrait en effet les portes de son intimité et surtout les coulisses de sa débâcle conjugale : des séances de thérapie de couple jusqu'à des révélations chocs en passant ses hospitalisations brutales, Tori Spelling n'a reculé devant rien. Dans le dernier épisode en date diffusé mardi 24 novembre, la blonde Californienne n'hésitait par exemple pas à attirer les projecteurs sur sa poitrine refaite, confiant que cette dernière aurait eu besoin d'un nouveau coup de bistouri il y a bien longtemps déjà. "Mes seins sont périmés et ont besoin d'être remplacés, a-t-elle ainsi lâché à l'issue d'un énième rendez-vous avec le psy. S'il y a dix ou quinze ans, on m'avait dit que ces deux trucs-là auraient besoin d'être changés, je n'aurais jamais sauté le pas. J'ai une peur bleue des opérations, j'ai la trouille d'être sous anesthésie."