TPMP - Gilles Verdez : Maux de tête et insomnies après la gifle de JoeyStarr

Toute la joyeuse bande de TPMP était de nouveau réunie, en direct, sur D8, ce jeudi 21 avril 2016. Comme à son habitude, Cyril Hanouna a présenté ses chroniqueurs en début d'émission. Et quand est venu le tour de Gilles Verdez, le public a tenu a lui offrir une standing ovation et à l'acclamer, afin de lui montrer qu'il le soutenait suite à l'affaire de la gifle mise par JoeyStarr le 19 avril dans les coulisses de Nouvelle Star. Une attention qui a beaucoup touché le compagnon de Fatou.

Ému aux larmes, Gilles Verdez a tout d'abord confié : "Je suis très ému d'être là et du soutien que tout le monde m'a apporté." Après quoi, le chroniqueur a donné des nouvelles de son état de santé suite au geste déplacé du membre du jury de Nouvelle Star : "Ca va mieux. Toujours les maux de tête et les insomnies, mais ça va mieux."

Jean-Michel Maire a également rappelé la raison de l'absence de tous les chroniqueurs autour de la table la veille. Au cours de l'émission, une vidéo où l'on découvrait les excuses de JoeyStarr avait été diffusée. "Comme l'a dit M. Verdez, ça a été vachement vite. Donc le geste a lui aussi été très vite malheureusement. Malencontreux geste, regrettable geste de ma part", a-t-il déclaré. Les jugeant "un peu tardives et légères", Enora Malagré, Matthieu Delormeau, Thierry Moreau et les autres membres de l'équipe ont préféré ne pas venir sur le plateau. Pour les remplacer, Cyril Hanouna a donc fait appel à des personnes présentes dans le public.

Résultat ? Un record d'audience. 1,77 million de "Fanzouzes", soit 8,5% du public et 17,1% des femmes, étaient devant leur petit écran hier soir, ce qui a donné des idées à l'animateur phare de D8 : "Ce n'est pas impossible que, l'an prochain, une fois par semaine, on fasse l'émission avec des gens du public. Hier, avant de prendre l'antenne, les patrons de la chaîne m'ont dit qu'on ne ferait pas d'audience et on s'en fichait. En tout cas, ça m'a fait marrer de le faire", a-t-il confié lors d'une interview pour Europe 1.