Revoilà Valeria Lukyanova, la Barbie humaine devenue star du Web depuis quelques mois déjà. La jeune Moldavo-Ukrainienne de 29 ans, qui prend plaisir à cultiver sa ressemblance avec la célèbre poupée Mattel, en est le sosie humain. Blonde à (très) forte poitrine, Valeria Valeria Lukyanova, avec l'aide du maquillage et de quelques opérations, a réussi le pari de devenir une poupée vivante. Une situation qu'elle n'assume pas tant que ça puisque, de passage sur un plateau télé italien, elle a exprimé il y a peu qu'elle ne cherchait pas spécialement à ressembler à une Barbie...
"Je n'ai fait qu'une seule opération, au niveau des seins, afin qu'ils soient plus harmonieux. Pour le reste, je n'ai rien touché, je suis née comme ça. Regardez comme mes poignets sont fins, j'ai une petite ossature, c'est tout", avait-elle alors déclaré.
Et cette particularité physique, il faut croire que c'est de famille ! La soeur aînée mais aussi les parents de Valeria ressemblent tous à des poupées humaines avec yeux démesurément grands et des traits démesurément fins. Même ses amies sont identiques, affichant de longs cheveux blonds, de grands yeux bleus, un tout petit nez et un teint de porcelaine.
Prenant la pose avec plusieurs membres de sa famille sur les réseaux sociaux, Valeria étonne et présente son père (un Ken vivant), sa maman (qui possède un corps de poupée parfaite) ou encore sa soeur, sans doute la plus "naturelle", mais qui fait aussi partie de ces beautés hors du commun. Voilà au moins une famille unie, qui aime le beau en collectif et qui est visiblement prête à tout pour ressembler au plus près aux jouets destinés aux enfants...
Rétablie, la bombe blonde, qui s'était fait agresser il y a quelques mois à son domicile, va assurément mieux et multiplie les clichés sur son compte Instagram. Souvenez-vous, Valeria avait été malmenée. "Je revenais des courses quand deux hommes m'ont attaquée en bas de chez moi. Ils n'ont rien dit, ils ont juste voulu me voler. C'est arrivé très vite, ils m'ont frappée à la tête, à la mâchoire, plusieurs fois, puis l'un deux a essayé de m'étrangler. Si ma voisine n'était pas arrivée, je ne sais pas ce qu'il se serait passé", avait-t-elle alors témoigné en sortant de l'hôpital.