Vendredi 20 novembre, Valérie Damidot et son complice Philippe Auriel dévoilent en prime les deux premiers numéros de la nouvelle émission déco de NRJ12 : Mission plus-value. Invitée sur le plateau du Buzz TV de TVMAG, l'ex-star de D&CO a poussé un nouveau coup de gueule contre ceux qui ont critiqué son travail sur M6.
Il faut dire que ça commence à bien faire ! Déjà vivement critiquée par sa remplaçante Sophie Ferjani sur LCI, Valérie Damidot a découvert dans le Buzz TV que c'est à présent Aurélie Hémar, laquelle anime L'Atelier déco sur France 2, qui l'a attaquée. "Ce que faisait Valérie Damidot, ça restait avant tout une personnalité. Elle savait parfaitement incarner cette émission. Elle était vraiment dans son jeu. Mais après, je parle uniquement de décoration et d'architecture d'intérieur, pour moi, c'est un non-sens. Valérie Damidot, ça n'est pas une référence. (...) Je n'étais pas sur le plateau, mais techniquement je ne sais pas comment on peut refaire les choses en une semaine lorsque l'on sait que rien qu'une chape met deux mois à sécher", a-t-elle déclaré il y a dix jours dans le Buzz TV.
Une attaque de trop pour Valérie Damidot, qui a alors répliqué : "Un non-sens de déco... Mademoiselle Hémar, reprenez-vous ! Je pense que c'est un petit peu la mode de taper sur les autres pour exister. De buzzer, de clasher. J'ai porté D&CO à bout de bras avec une équipe entière derrière moi pendant presque dix ans. On a fait 54 maisons du sol au grenier (...) Si on avait fait des travaux de merde, ça se serait su et si les maisons s'étaient écroulées, les gens auraient porté plainte et on n'aurait pas continué cette émission."
Se disant "épuisée" par cette mode de vouloir taper sur tout le monde, la blonde a ensuite conclu : "Je n'ai pas de diplôme d'architecte, ni de décoratrice d'intérieur. J'ai un seul talent : quand je rentre dans une maison, je sais comment l'optimiser et la remettre en valeur (...) Je suis autre chose qu'une meuf qui a posé des stickers roses et des trucs à la con comme on l'a dit mille fois, ce qui m'a souvent mise en colère."
Franchement agacée, Valérie Damidot a poursuivi : "On était entre 70 et 90 personnes 24 heures sur 24 sur les chantiers et, n'en déplaise à Aurélie Hémar, il y a des matériaux qui sèchent bien plus vite qu'en deux mois. Sincèrement, si en neuf ans j'avais des chapes de béton qui avaient fait exploser des sols (...) je pense que je me serais retrouvée avec mon équipe à la une des magazines."
A bon entendeur...