La gifle, trente-quatrième. Après le témoignage de Mohamed Rizki, qui accuse Valérie Trierweiler de l'avoir giflé dans un café du 15e arrondissement de Paris (et qui a déposé plainte), voilà que le jeune homme livre un nouveau témoignage dans les pages de VSD. Un témoignage cependant nuancé par d'autres versions des faits.
S'il continue de se dire humilié par l'acte supposé de l'ancienne première dame, cet ex-candidat UMP aux dernières municipales à Compiègne enfonce le clou : "Quelqu'un de normal aurait essayé de discuter. Pensez-vous que Ségolène Royal aurait agi de la sorte ? ", tacle-t-il dans les colonnes de l'hebdomadaire français.
Mais loin de faire l'unanimité, son témoignage est quelque peu remis en cause par des témoins de la scène qui se sont livrés à l'hebdomadaire. "C'est un fouteur de merde", confie l'un des serveurs du bar où s'est déroulée l'altercation. Et un autre employé d'ajouter : "Il a sans doute voulu se faire de la pub."
Poursuivant son enquête, VSD apporte également l'éclairage d'un client témoin direct de la scène qui, immédiatement après les faits, se serait confié à un commerçant voisin. "Le monsieur était très provocateur, il enchaînait les piques. Il aurait même dit : 'Celle qu'il a maintenant est plus mignonne.'"
De son côté, la journaliste et auteur du brûlot Merci pour ce moment n'a que très peu réagi à propos de l'affaire. Sur Twitter, quelques heures après les faits supposés, Valérie Trierweiler se contentait d'un petit tweet qui en dit long : "Un seul mot : #stopalamuflerie" !"
Invitée du 19/20 de France 3 dimanche soir, la marraine du Secours populaire avait simplement déclaré : "Il se passe tellement de choses graves dans le monde que je ne comprends pas qu'on monte en épingle des événements qui n'en sont pas."
À bon entendeur...
Un sujet à retrouver dans le magazine VSD, en kiosques le jeudi 19 mars 2015