Accompagné de Valérie Trierweiler, François Hollande a été reçu en grande pompe pour son arrivée en Algérie, mercredi 19 décembre, dans le cadre d'une visite d'État de 36 heures. Pendant que le président tenait un discours dans l'ambassade de France à Alger, durant lequel il a ironisé sur l'"affaire Depardieu" et qu'il s'entretenait avec son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika, sa compagne en a profité pour se rendre dans une école.
Au sein de l'établissement Alexandre-Dumas, une école primaire de la banlieue d'Alger, Valérie Trierweiler a rencontré de nombreux enfants algériens avec lesquels, attendrie, elle a pris plaisir à prendre la pose. Très curieux, les jeunes élèves ont ensuite posé de nombreuses questions à la première dame, notamment sur son rôle exact, qui avait provoqué tant de remous... "Le rôle de la première dame n'est pas défini, c'est à elle d'en faire quelque chose", répond-elle alors selon L'Express.fr.
Valérie Trierweiler joue le jeu avec plaisir et n'esquive aucune question, même lorsqu'il s'agit d'évoquer les mauvais côtés de son statut devant les apprentis journalistes : "L'inconvénient, c'est de perdre un peu de sa liberté et d'abandonner un peu de ce qu'on est soi-même", avant de reconnaître à nouveau que ses débuts ont été parfois hasardeux : "Ça fait très peur au début. On apprend ensuite, comme vous à l'école." A l'un des bambins, elle confiera même être tombée amoureuse "de l'homme" et non pas "du président", en parlant de sa relation avec François Hollande.
Très détendue et ravie de l'accueil - bouquets de fleurs et chocolat -, Valérie Trierweiler semblait plus qu'épanouie dans son rôle de première dame, à l'image de ses dernières sorties. "Vos questions sont pires que celles des journalistes !", leur a-t-elle par ailleurs lancé avec beaucoup d'humour, toujours selon L'Express.fr. En attendant, on devrait rapidement retrouver les impressions de la première dame sur le site de l'Élysée, où elle a fait son grand retour en début de semaine.