Mardi 25 septembre, le président François Hollande s'est rendu à New York pour effectuer son premier grand oral à l'ONU lors de l'assemblée générale. Avec sa compagne Valérie Trierweiler, fraîchement nommée ambassadrice de France Libertés - Fondation Danielle Mitterrand, il est ensuite allé à la rencontre des expatriés français de New York, dans une salle mythique de Broadway, le Roseland Ballroom.
Malgré sa récente chute dans les sondages, François Hollande est apparu en forme dans son costume noir - et même amaigri après la reprise de poids qui a suivi son élection à la présidence de la République face à Nicolas Sarkozy en mai dernier. Très chic et élégante, Valérie Trierweiler affiche un large sourire sur les clichés, elle semblait ravie de pouvoir rencontrer ces Français vivant à New York. Celle qui souhaite rester journaliste aurait pu pourtant craindre de croiser sa grande rivale Ségolène Royal, l'ex-concubine de François Hollande, avec qui il a quatre enfants. Hasard du calendrier, la présidente du conseil régional de Poitou-Charentes est en effet attendue ce mercredi à New York, pour une réunion de l'Internationale socialiste dont elle est l'une des vice-présidentes.
Compagne de François Hollande pendant vingt-neuf ans, Ségolène Royal n'a pas manqué l'occasion de rappeler sa proximité avec le président : "La réunion de l'IS et celle de l'ONU ne se déroulent pas très loin l'une de l'autre. Elles n'ont pas lieu dans la même enceinte et tout est très sécurisé, mais on s'appellera sans doute. François sait que je suis sur place", a-t-elle ainsi déclaré. De son côté, Valérie Trierweiler est conviée ce matin, avec les épouses des autres chefs d'Etat, par celle du secrétaire général de l'ONU, Ban ki-Moon, à une visite de la Morgan Library and Museum. En début d'après-midi, le couple présidentiel regagnera la France.